Une nuit sur le mont de Vénus
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
fh,
fépilée,
Oral
confession,
Humour
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
... jour, j’abordai la question avec elle. Elle se mit à trembler. Elle me raconta que son mec adorait la chanson de Lio :
— Les brunes ne comptent pas pour des prunes et qu’elle faisait tout pour lui cacher la réalité de sa blondeur.
Elle ajouta qu’il venait ce soir et qu’il fallait qu’elle trouve une teinture pour son mont de Vénus. Nous étions samedi soir et tout était fermé dans le coin. Je lui proposai des feutres quasiment indélébiles que j’avais emportés. Elle accepta et me demanda même de lui colorer les poils pubiens. Je m’appliquai, je peux vous le dire. Cléo les jambes ouvertes, le sexe humide, là, devant moi et mes crayons… Pour me récompenser, elle me prodigua une petite gâterie dont elle avait le secret.
Antonio reprit son verre visiblement satisfait de sa narration. Manifestement, Bertrand, lui, ne voulait pas parler ; on avait presque l’impression qu’il aurait voulu se diluer comme son glaçon dans son whisky. On l’y incita vivement en exigeant qu’il paie toutes les consommations de la nuit s’il se dérobait, et il se lança :
— Je suis un peu gêné parce que je dois vous avouer que je ne suis pas très fier de ce qui est arrivé. Je vous demanderai juste un peu de compréhension et surtout beaucoup de discrétion. Vous le savez, je n’ai pas une grande expérience avec les filles. Souvent, je me suis pris des râteaux, comme on dit. Un jour pourtant, il n’y a pas très longtemps, lors du mariage d’un oncle, je me suis retrouvé à table à côté d’une certaine Julie. ...
... Très sympathique et, à première vue, assez libérée. Je dis cela parce que pendant le repas, elle ne faisait pas mystère de ses aventures amoureuses. Elle raconta par exemple qu’à l’issue d’un bain de minuit, elle s’était retrouvée à poil avec six garçons qui l’avaient caressée et pelotée pour la réchauffer.
Vous savez ce que c’est que ces mariages en province. On ne sort de table que pour y reprendre place. Le festin de midi se termine à cinq heures et celui du soir commence presque aussitôt. Nous étions près d’un bois et je trouvai le moyen de m’éloigner un peu des autres convives pour marcher avec Julie. On s’aventura dans un sentier. À un moment donné, elle s’accroupit pour uriner sans aucune gêne sauf pour moi. Comme j’avais envie à mon tour, après tant de vins blancs différents, je cherchai un arbre pour me dissimuler et je me soulageai sans me rendre compte qu’elle était devant moi. Elle me dit qu’elle adorait voir les garçons pisser et elle me félicita pour mon pénis qu’elle trouvait long et voluptueux. Je ne comprenais pas d’où elle tenait cette vision des choses, mais j’acceptai le compliment en souriant.
En continuant notre chemin, nous sommes tombés sur une cabane en triste état. Probablement des enfants l’avaient construite. Elle entra et je l’ai suivie prudemment. Une fois à l’intérieur, elle s’occupa de ma ceinture et fit tomber mon pantalon. Elle voulait voir comment ma bite – excusez du mot, mais c’est son expression – allait grandir si on la caressait. ...