Mary K.
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
extracon,
inconnu,
hotel,
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... mes fourneaux et lorsque j’essaie de prendre la parole, Mary ne me laisse pas le temps de dire un mot et continue ses explications. Je la trouve très mûre dans ces propos mais en même temps, diablement rapide dans ses certitudes du fait que nous ne nous connaissons que depuis moins de vingt-quatre heures. J’essaie de lui faire entendre raison, que nous avons agi sous une pulsion et que, malgré l’affection que je lui porte et l’amour qu’elle semble avoir pour moi, peut-être nous trompons-nous. S’ensuit une longue discussion sur les tenants et aboutissant de cette relation naissante. Elle semble contrariée, je suis maladroit dans mes paroles, mais nous finissons par nous réconcilier ; en fait, je ne veux pas la perdre, pas le moins du monde.
— Notre première dispute, dis-je pour détendre l’atmosphère alors que nous finissons de nous restaurer.
— (sourire) J’adore que tu dises première !
Je voulais faire de l’esprit mais j’ai trahi mes sentiments les plus enfouis, il faut bien le dire, ce petit bout de femme est entré dans ma vie et je refuse qu’elle s’en échappe. Suis-je tomber amoureux ? Sûrement. Cela va-t-il durer ? Impossible de répondre.
Tout est balancé dans le lave-vaisselle, et après m’être changé je fais un petit tour d’inspection sur l’état des pièces que nous avons visitées, avant de quitter la maison. Je ne voudrais pas qu’une trace, aussi infime soit-elle, trahisse mes égarements. Pour l’instant je préfère me cantonner dans mes futurs mensonges. ...
... L’encens a fait son effet, aucune flagrance ne vient avouer la moindre présence féminine. Pour parer à toute éventualité, j’ai lancé une machine à laver avec mes habits imprégnés d’odeur de drogue et d’alcool ainsi que les serviettes utilisées après notre douche.
Je conduis la voiture sur les indications de la demoiselle pour l’emmener jusqu’à son appartement. Elle m’avoue qu’elle a quelques affaire chez Rémi au cas où, mais qu’elle vit la plupart du temps ici. Alors qu’elle se change, son cellulaire sonne.
— Tient en parlant du loup, dit-elle en clignant de l’œil dans ma direction. Ouai, salut !
— (…)
— Il s’est barré quand je me suis levée, tu as vu, il a apporté le déjeuner ?
— (…)
— Ouai, super sympa. Non, il m’a rien dit, juste au revoir.
— (…)
— Moi aussi, je reste chez moi.
— (…)
— À demain, bisous ! Et elle raccroche. Il t’a trouvé très sympa, me dit-elle tout naturellement. Il pensait que tu serais resté ou que tu avais laissé ton numéro.
— Moi aussi je l’ai trouvé très bien.
— Il est chouette mais un peu trop bringueur. Bon, il faut que je m’habille ! dit-elle pour couper court à la conversation.
Elle se défroque devant moi, sans aucune pudeur, d’ailleurs pourquoi devrait-elle en avoir ? C’est juste que je ne suis plus habitué à autant de naturel et de fraîcheur.
— J’ai cru apercevoir que tu aimais que je ne porte pas de culotte ! dit-elle en faisant référence à mes caresses appuyées lorsque j’ai passé mais main dans son collant épais.
— Ben oui.
— ...