Mary K.
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
extracon,
inconnu,
hotel,
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
Un week-end de repos bien mérité m’attend. Je n’aime pas être seul d’habitude, mais en ce vendredi après-midi il ne me tarde qu’une chose : pouvoir profiter de l’absence de ma femme et mes enfants pour pouvoir faire ce qu’il me plait, même si je n’ai pas de programme préétabli. Cela fait quinze jours que je passe plus de quinze heures au boulot et je suis arrivé au bout de ce satané dossier, devant la photocopieuse, je regarde les pages des différents exemplaires se remplir recto-verso.
J’ai réussi à tout boucler dans les temps et ce n’est pas un énième bourrage de cette satanée copieuse qui va entacher ma bonne humeur. Je remets tout dans l’ordre et après avoir bien vérifié l’ordre des pages déjà imprimées, je relance la machine.
Le dernier des dossiers relié, je fonce dans le bureau de mon chef où m’attend quasiment toute ma ligne hiérarchique et je pose les exemplaires sur le bureau. Après quelques palabres où ils ne manquent pas de me passer de la pommade, ça fait du bien de l’entendre mais j’ai tout de même envie de m’enfuir. Cela doit être visible car ils me relâchent en m’invitant à sortir, ce que je fais avec empressement. Je vole jusqu’à ma place dans la grande salle où les pauvres techniciens sont exploités, j’attrape ma veste, éteins l’ordinateur et cours jusqu’à mon véhicule.
J’ai l’impression d’être un collégien, ivre de bonheur, qui court comme un dératé pour ne pas rater son bus le dernier jour avant les vacances. Essoufflé, je démarre l’auto et ...
... profite que le moteur chauffe pour prendre des nouvelles de ma petite famille qui passe quelques jours chez les beaux-parents.
Tout va bien pour mon épouse et les jumeaux, je peux démarrer et profiter de ma condition de célibataire. Il n’y a aucune connotation sexuelle dans mes pensées à cet instant, uniquement un sentiment de liberté, de ne rien avoir à gérer. Sandrine est même partie avec le boxer, donc je n’ai pas besoin de penser à lui donner à manger et à boire.
J’arrive à la maison, je me défroque et passe des fringues plus confortables que le costume qu’on m’a conseillé de porter pour cette journée où les huiles de ma société venaient nous rendre visite. Pendant que je me change, je décide d’aller me faire une toile, un bon film de super-héro bien bourrin durant lequel je n’aurai pas trop à réfléchir. Je viens d’avoir quarante ans mais j’ai toujours eu un faible pour les films fantastiques, je me retrouve donc à la séance de vingt heures dans une salle à moitié remplie. Je suis largement le plus vieux mais je n’en fait pas un complexe, et c’est tout sourire que j’arbore pour la première fois des lunettes 3D, un vrai gosse.
Au début tout ce passe bien, j’ai apprécié les publicités dans lesquelles j’ai l’impression d’attraper des bonbons ou d’être surpris par les effets de reliefs. Ça se gâte lors du générique durant lequel les scènes d’actions rapides me font perdre le goût du spectacle. J’ai l’impression que ma tête est écrasée au niveau des tempes, ma bouche ...