1. Et hop, tout le monde à la campagne ! (2)


    Datte: 03/06/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... découvrir l’entrée de mon vagin. Paulo demeure là, bouche bée, ma démonstration semble l’exciter sévèrement.
    
    — Je sais que j’peux pas toucher, mais si je te fais un petit bisou dessus, ça te gênerait ?
    
    — Je ne sais pas, tu serais bien le premier de toute ma vie à mettre ton nez là-dessus, ça ne te dégoûte pas ?
    
    — J’ai déjà sucé des gars pas propres, t’peux pas t’imaginer ! C’est pas ta choune qui m’fait peur. Vue d’ici, elle fait plutôt soignée.
    
    Paulo rampe sur les coudes et vient s’installer entre mes cuisses, le nez sur mon ventre.
    
    — Descends un peu, sinon, à part le nombril, tu ne vas pas embrasser grand-chose, lui dis-je.
    
    Il se laisse glisser en déposant des petits baisers délicats jusque dans le pli de la cuisse, de haut en bas à gauche, de haut en bas à droite. À part sa barbe qui me gratte un peu, je trouve soudain son idée intéressante. Allez savoir pourquoi, j’ai envie de lui saisir la tête à pleines mains... De le poser à un endroit bien précis.
    
    Paulo reste un tendre, il ne laisse pas un seul millimètre qui ne soit pas servi par la douceur de ses lèvres, parfois même, il sort le bout de sa langue, la fait circuler de gauche à droite. Descendant un peu trop, il se retrouve à titiller mes petites lèvres, se risque maintenant à engager sa langue un peu plus profondément dans ma vulve. L’effet est immédiat, la chaleur de cet objet dans mon sexe me fait fondre, sirop que Paulo se sent obligé de laper et de boire à la source. Plus je mouille, plus ...
    ... il lèche. Plus il lèche, plus je mouille. Ça n’arrête pas.
    
    Une chaleur qui n’est due ni au soleil, ni au mauvais vin du repas, inonde tout mon bassin, je ne peux plus m’arrêter de m’agiter tentant de m’offrir encore mieux à la bouche fougueuse de Paulo.
    
    Je prends sa tête entre mes mains, le fait doucement remonter vers le haut de mon pubis, je pense qu’il ne sait pas pourquoi, mais moi, j’ai plutôt confiance dans la suite des événements. Paulo, c’est un intuitif, après avoir parcouru rapidement les lieux de sa lippe, il s’arrête sur le renflement de mon clito, d’instinct, il s’y attarde. Il le prend entre ses lèvres et l’agace du bout de la langue, tout en exerçant une légère aspiration constante. Je n’y tiens plus, je suis prise de tremblements qui semblent l’affoler, du coup, il me contraint de le maintenir à l’ouvrage en l’entourant de mes cuisses pour qu’il m’achève.
    
    Remise de mes émotions, je le libère avant qu’il n’étouffe. Il en ressort cramoisi. Lorsqu’il se relève, je vois une énorme tache sur son short. Il n’a pas pissé dans son froc, je crois qu’il vient de se libérer d’une forte tension. Ça me rappelle ce cher Tonton, hier soir !
    
    — Putain, c’est bon, une chatte, j’en reviens pas, Nath’, il faut qu’on se revoie, t’as encore des choses à m’apprendre.
    
    Pauvre bougre s’il savait que je suis en train de m’éduquer avec lui, les bras lui en tomberaient.
    
    C’est le coup de gueule de Ginette qui nous a remis les idées en place. Cet appel nous somme d’aller ...