1. Et hop, tout le monde à la campagne ! (2)


    Datte: 03/06/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... gravement.
    
    Ma dernière vision avant de remonter dans ma chambre, c’est, vue de dos, la bite pendante de Tonton qui sort du cul de Ginette, le tout dégoulinant de semence.
    
    La journée à la campagne ne laisse de place, ni à l’improvisation, ni au badinage. Les tâches sont tellement nombreuses, si bien organisées et chronométrées que le temps s’écoule à un rythme effréné au point que nous avons toujours l’impression de courir, de ne jamais pouvoir absorber tout le travail de la ferme. À part la pause de midi suivie d’un temps court de repos que peuvent appeler « sieste » ceux qui ont la chance de pouvoir s’endormir. À cette occasion, allongée tranquillement sous les peupliers du bord de la rivière, je ne suis pas restée seule longtemps. À peine arrivée que déjà, Jean-Paul le commis vient se poser près de moi.
    
    Bon, Jean-Paul, ou Paulo pour faire plus court, ce n’est pas Apollon. Bien sûr, il lui manque bien quelques dents, elles seraient utiles à égayer son sourire. Paulo, on l’aime tel qu’il est. Pas vraiment simplet, parfois philosophe, il a une vie singulière, détachée de toutes les contingences urbaines, de ces obligations inutiles qui ne rendent pas forcément les rapports entre les gens plus simples, plus chaleureux. Élevé par ses grands-parents depuis l’âge de trois ans, après le décès accidentel de ses géniteurs, à vingt-deux ans, dont autant d’années passées dans ce village, Paulo est tellement gentil avec tout le monde qu’il ne viendrait à l’idée de personne ...
    ... de le contrarier ou de lui refuser une faveur.
    
    — Putain, t’as changé Nathalie, t’es une femme maintenant, me lance-t-il sans préambule.
    
    — Et toi Paulo, tu préfères toujours les garçons ?
    
    — Oui et non, j’ai déjà essayé avec une fille, mais ça l’a fait gueuler, je crois qu’elles ont le cul plus fragile que les gars.
    
    — Ne me dis pas que tu tentes de les baiser par le cul, Paulo, tu sais au moins que les filles ont trois trous ?
    
    — Trois trous ?
    
    — Et les vaches, tu les as bien regardées ? Elles aussi ont trois trous, un pour chier, l’autre pour pisser et le troisième pour prendre le taureau.
    
    — Ah ben là, tu me la coupes, j’y avais pas pensé. C’est donc pour ça qu’elle m’a traité de porc en partant. Ça m’aiderait si je regardais sur toi. Tu me ferais voir comment c’est fait le zigouigoui d’une femme ?
    
    — D’accord, mais tu n’en profites pas. Paulo, je te fais confiance. Promis ?
    
    — Promis, Nath’, je regarde, toi, tu m’expliques.
    
    Bonne fille, je remonte ma robe d’été puis baisse ma culotte.
    
    — Y a rien que du poil, y a rien à voir, s’exclame Paulo.
    
    — Attends un peu, dis-je en écartant les cuisses, approche-toi, mets-toi en face, ça ne va pas te mordre.
    
    Je farfouille dans ma toison avec mes doigts, écarte mes grandes lèvres jusqu’à ce qu’il aperçoive cet orifice dont il semble tout ignorer. Glissant plus bas, je lui précise l’emplacement du trou du cul, celui qu’il enfourne chez ses copains pédés et en remontant, entrouvre les petites lèvres pour ...