Et hop, tout le monde à la campagne ! (2)
Datte: 03/06/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: SHERAB, Source: Xstory
Le lendemain matin, au chant du coq, le jour à peine levé, je suis prise d’une envie d’uriner, donc obligée de descendre au rez-de-chaussée jusqu’aux WC installés au fond du jardin. En passant devant la chambre de Claude et Ginette, par la porte entrouverte, je perçois du mouvement, j’entends des bruits qui ressemblent étrangement à ceux émanant parfois de la chambre de mes parents en fin de semaine. En revenant, je flâne dans le couloir pour tenter de jeter un œil et enfin comprendre l’origine, voire la cause, de ces cris étouffés. J’aperçois ma tante à genoux sur le matelas, agrippée à la tête de lit, le postérieur en offrande. Elle affiche une belle paire de fesses bien dodues posées sur des jambes longues, plutôt bien galbées. La jonction des deux poteaux se fait au cœur d’une forêt vierge de poils sombres qui ne laissent rien deviner de l’anatomie sexuelle de Tata. Claude sort de la salle de bains en pleine érection.
En marchant, il exhibe telle une flèche directionnelle sa bite rougeoyante. Arrivé au bord du lit, il chope sa femelle à pleins bras, on dirait un orang-outang...
Il l’enfourne aussitôt de sa queue, sans ménagement.
— Noooon !!!! Je t’avais dit, pas dans le cul, bordel. Ma chatte ne t’a pas suffi. Tu me fais mal, gros dégueulasse.
Pour seule réponse, une bonne claque vient s’abattre sur le fessier de Ginette. Sans ambages, le Claude commence à la pilonner en la bousculant un peu dans le bois de lit.
Je pensais que la première réaction de ...
... Ginette serait suivie immédiatement d’autres récriminations. Je n’y comprends plus rien. Je l’entends maintenant glousser aussi fort qu’une grosse dinde en lui lançant des mots d’encouragement plus ou moins vulgaires. De derrière, je vois les couilles bovines de Claude frapper en cadence la vulve de Ginette. C’est impressionnant ce paquet qu’il a entre les jambes. Ce que je vois m’excite au plus haut point, ma main retrouve avec bonheur mon ouistiti déjà tout humide. Forte de mon expérience d’hier soir, je sens bien qu’il n’est pas nécessaire de me précipiter si je veux me faire éclater le bourgeon. Et je le veux ! Il me suffit de m’identifier à Ginette qui s’en prend plein le cul, ça décuple mon envie de jouir.
— Bordel, je sens que je viens la Ginette, rugit Claude en poussant de ses reins de plus en plus vite, de plus en plus fort.
— Inonde-moi de ton foutre, espèce de bouc en rut, vide-toi les couilles, finissons-en, bourre-moi, imagine que tu bourres la salope de Josiane, son gars juste parti au boulot. Reprend Ginette.
Ces mots me font un effet incroyable, j’ai cru soudain que j’allais me recevoir la giclée de Claude. Je le vois prendre le recul du dernier envoi afin de pousser sa queue au plus profond des entrailles de sa femelle. Au moment où son grognement enfle à faire trembler les vitres, je tombe à genoux, en couinant mon deuxième orgasme. Ginette n’est pas en reste, elle braille elle aussi, elle gigote tellement que les craquements du lit s’intensifient ...