Introduction
Datte: 03/06/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... s’étaient retournés pour eux aussi voir les nouveaux arrivants, se rassirent normalement.
— Eh bien, il faut être fou pour faire ça ! s’exclama sa mère.
Élodie sourit à cette phrase et remarqua que son père, lui, ne disait mot. Il n’avait pas acquiescé à sa femme.
— Fou ? dit Élodie en regardant sa mère. Hum… je ne pense pas. Il faut juste savoir ce qu’on veut et avoir le courage de le faire.
— Du courage ? En quoi est-ce courageux d’agir de la sorte ? lança sa mère.
— Ma foi, je crois qu’il en faut pour ainsi exposer ses fantasmes en public ! répondit Élodie.
— Fantasmes ? répéta sa mère sans comprendre.
— Maman, cette femme, regarde-la. Elle est vêtue d’une petite jupe moulante, de bas et d’un haut très sexy. Elle porte des bracelets et un collier avec des anneaux. C’est une soumise et cet homme est son maître. C’est sexuel, rien de plus. C’est un jeu. Que croyais-tu que c’était ? Et donc, je la trouve courageuse d’ainsi s’exposer aux regards de tous.
— Moi, je trouve ça…
Sa mère se contenta de faire une moue dégoûtée, ne parvenant apparemment pas à mettre un mot sur sa sensation. Élodie remarqua en souriant que ça n’était pas l’avis de son père qui se retenait de sourire pour ne pas créer une dispute avec sa femme. Élodie se demanda un instant si son père n’aurait pas aimé être à la place du maître. Après tout, la mère d’Élodie avait toujours été le « chef de famille ». C’était elle qui prenait les décisions et ce depuis toujours. Peut-être son père ...
... aurait-il aimé, le temps d’un jeu sexuel, faire de sa femme son esclave ? Élodie sourit à cette idée. Avec ses parents, les questions sexuelles n’avaient jamais vraiment été taboues et cela ne dérangeait absolument pas la jeune femme d’imaginer ses parents au lit. Elle eut surtout de la peine pour son père qui n’oserait jamais avouer ses envies à sa femme.
Élodie reprit son déjeuner en même temps que le reste du restaurant. Cependant, de temps en temps, Élodie levait les yeux vers l’étrange compagnie. Ils avaient commandé mais la soumise n’avait rien eu. Apparemment, elle n’était pas là pour déjeuner. Elle ne reçut aucune forme de nourriture ni ne bougea. Elle resta simplement agenouillée aux pieds de son maître sans bouger ni parler, les yeux baissés. Se rendait-elle compte des centaines d’yeux qui, régulièrement, passaient sur elle ? Probablement. C’était même sûrement ce qui lui apportait du plaisir dans cette situation. Élodie sourit à l’idée que cette femme put apprécier d’être ainsi sous le feu des projecteurs dans cette position humiliante.
Le serveur vint chercher les plats vides et leur donna la carte des desserts. Tout en mangeant sa tarte aux pommes et à la confiture de coings, Élodie regardait la soumise et son maître. Le groupe en était à manger leur plat de résistance. Son père lui posa une question. Élodie répondit mais elle n’était pas vraiment avec eux. Non, elle était assise avec le maître et ses amis… Non, en fait, elle n’était pas assise avec eux, elle ...