Introduction
Datte: 03/06/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... cette soirée avec toi, et non avec ma soumise. Tu veux bien ?
— Oui, bien sûr.
Il s’approcha alors d’elle, affichant clairement son désir de l’embrasser mais ne faisant pas tout le trajet nécessaire, obligeant ainsi Élodie à agir. Elle s’exécuta avec plaisir et le baiser dura. Élodie n’avait jamais été aussi bien embrassée. Ce fut un véritable plaisir, d’autant que Gilles s’amusait à poser ses mains sur son corps au moment où elle s’y attendait le moins. Elle fermait les yeux, si bien qu’elle ne voyait pas venir la caresse sur son bras, son épaule, sa nuque ou ses hanches, et il faisait en sorte qu’elles soient imprévisibles. Lorsqu’il s’éloigna enfin, Élodie était aux anges.
— J’adore ta façon d’embrasser, souffla Gilles.
— Vraiment ? s’étonna Élodie, à qui personne n’avait jamais fait cette remarque.
— Oui, vraiment, je ne le dirai pas si je ne le pensais pas, répondit Gilles avec assurance.
— Hé bien, j’adore aussi ta façon d’embrasser.
— Tu m’en vois ravi, annonça-t-il.
Il prit son temps afin de graver cet instant dans sa mémoire, le visage souriant d’Élodie, sa nouvelle soumise, puis lança :
— Il est tard. Tu devrais rentrer. On se voit samedi soir ? Tu viens dîner chez moi ?
— D’accord, dit Élodie.
— Tu sembles déçue. Tu t’étais attendue à plus ce soir ?
— En toute sincérité, oui, mais en fait, j’apprécie que ça ne soit pas le cas.
— Tant mieux, dit-il. Allez, rentre bien et repose-toi.
— Toi aussi, Gilles.
Ils s’embrassèrent rapidement puis se ...
... quittèrent. Ils étaient ravis, l’un comme l’autre.
Les jours qui suivirent, Élodie se languit de son maître. Elle n’avait qu’une envie : le voir, lui parler, le toucher, l’embrasser à nouveau. Elle avait été excitée par ce simple baiser et en désirait plus, beaucoup plus. Il l’avait laissée sur sa faim, probablement de manière volontaire. Il cherchait sûrement à l’exciter par cette attente et si c’était le cas, alors c’était une totale réussite. Samedi, elle rentra du travail à dix-neuf heures. Elle se lava et se changea avant de se rendre chez Gilles. Elle ôta ses chaussures et le rejoignit dans la cuisine où la table était mise pour deux personnes et de laquelle s’échappait une odeur des plus agréables. Élodie proposa son aide mais Gilles refusa poliment, lui ordonnant de s’asseoir et de ne pas bouger sur un ton moqueur. Elle obéit volontiers. Gilles lui proposa de lui raconter sa journée - ce qu’elle fit - pendant qu’il finalisait le repas. Puis, il posa les plats sur la table et servit. Le dîner fut agréable, comme toutes leurs rencontres jusque là. Gilles proposa ensuite de se rendre au salon. Ils s’assirent dans le canapé. Gilles tamisa légèrement la lumière puis annonça :
— Élodie, je vais maintenant devoir te poser des questions plus… intimes. Cela va m’aider. Essaye de me répondre avec la plus grande sincérité possible. Tu as confiance en moi. Tu sais qu’en aucun cas je ne vais me moquer ou te juger.
Élodie hocha la tête.
— Bien, j’ai besoin de savoir ce ...