Au couvent
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
ff,
fff,
jeunes,
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fsoumise,
fdomine,
soubrette,
contrainte,
Masturbation
Oral
fgode,
fdanus,
attache,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... sur ses deux jambes légèrement écartées, elle est fière de son corps harmonieux et musclé : ses cuisses fines, ses fesses rondes et fermes, sa taille fine, ses épaules carrées, ses gros seins arrogants aux tétons sombres, sa peau mate aux reflets dorés sont empreints d’une sensualité sauvage. Elle semble narguer la mère supérieure.
Madame de Valençon parvient à détacher son regard du corps superbe qui lui est offert, et inspecte le reste de la pièce. Deux grands fauteuils de cuir sont placés de part et d’autre. Sur les côtés, de grands candélabres sont garnis de longues et épaisses bougies. Au fond, sur une étagère, une série d’objets hétéroclites : des harnais de cuir, des cravaches, des fouets, des godemichés… tout cet attirail n’aurait pas sa place dans un couvent normal, mais Madame de Valençon ne s’étonne qu’à moitié de les trouver ici. La mère supérieure se dirige vers la plus jeune des novices, et lui soulève le menton. La jeune fille détourne le regard.
— Alors, mes petites, ainsi vous avez succombé à la tentation, et vous avez forniqué avec le jardinier ?
— …
— Réponds-moi, quand je t’interroge !
— Oui ma mère, nous avons péché.
— Jusqu’où avez-vous péché ?
— …
Comme la jeune fille ne lui répond pas, elle lui donne une claque sonore sur la fesse.
— Réponds, petite traînée, jusqu’où ?
— Il nous a fait nous déshabiller.
— Et après, il s’est déshabillé ?
— Oui, il était nu.
— Et cette petite pimbêche a voulu lui sucer la queue.
— Toi, je ne t’ai ...
... pas encore interrogée ! Laisse-la répondre. C’est vrai, tu l’as sucé ?
— Oui ma mère, c’était si tentant !
Soeur Amélie lui donne une nouvelle claque sur la fesse. La peau rougit. La jeune fille est au bord des larmes. Soeur Amélie se dirige vers l’étagère et s’empare d’une cravache. Elle revient vers la jeune fille. Du bout de la cravache, elle lui caresse le dos, le buste, le bout des seins. La jeune fille ne peut s’empêcher de frémir. Le bout de la cravache descend vers son ventre, se glisse entre ses cuisses. La jeune fille ne peut s’empêcher d’écarter les jambes. Soeur Amélie passe derrière elle, lui caresse le cul, lui glisse la cravache entre les jambes,… puis lui donne un coup de cravache sur les fesses. La jeune fille pousse un petit cri de surprise. Mais elle écarte encore un peu plus les jambes, et cambre les reins. Madame de Valençon est très excitée par la scène. Elle sent qu’elle commence à mouiller. L’autre jeune fille semble aussi très excitée. Elle cambre les reins, ondule doucement du cul en regardant la mère supérieure. Celle-ci s’approche d’elle, et avant même de l’interroger, elle lui assène un coup de cravache sur les fesses.
— Et toi, tu l’as aussi sucé ?
— Oui, il avait une jolie queue, les caresses de mon amie l’avaient beaucoup excité, il bandait à mort.
— Tiens, petite vicieuse, pour ta punition !
Et elle lui donne un grand coup sur les fesses qui laisse une trace rouge sur sa peau sombre. La jeune fille cambre encore plus les reins. Elle ...