1. Au couvent


    Datte: 02/06/2020, Catégories: ff, fff, jeunes, religion, grosseins, fsoumise, fdomine, soubrette, contrainte, Masturbation Oral fgode, fdanus, attache, fouetfesse, historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... est visiblement échauffée par la situation. La mère supérieure l’observe avec un plaisir non dissimulé. Elle s’empare de son sein gauche, qu’elle presse fermement avant d’en caresser le bout pour le faire se dresser encore davantage. La jeune femme la regarde avec un air de défi, mais elle ne peut dissimuler l’excitation qui la gagne : ses tétons sombres sont gonflés et dressés, et en regardant entre ses cuisses Madame de Valençon voit clairement que sa vulve gonflée commence à s’ouvrir comme un fruit mûr et juteux. La Mère Supérieure lui redonne un coup de cravache ; la jeune fille pousse un gémissement où se mêlent douleur et plaisir. L’autre jeune fille observe la scène non sans intérêt. Soeur Amélie revient vers elle, et lui donne un très léger coup de cravache sur le mamelon.
    
    — Ça t’excite, de voir ta compagne de débauche se faire corriger ?
    — Pitié, ma mère, ne m’en veuillez pas !
    — Réponds à ma question !
    — Oui, ça m’excite, de la voir prendre son plaisir sous vos coups de cravache.
    — Tu aimes cela, la cravache ?
    — Je… je ne sais pas… je crois bien… que oui.
    
    Soeur Amélie lui taquine le mamelon du bout de la cravache. La jeune fille s’abandonne au désir. Elle qui serrait tantôt les cuisses, la voilà qui écarte les jambes et darde en avant son sexe presque glabre.
    
    — Voyez ces petites salopes, ces petites excitées qui ne peuvent maîtriser leurs pulsions. Vous ne trouvez pas, chère amie, qu’elles méritent une petite punition.
    — Bien sûr, mais ne les ...
    ... punissons pas trop. Après tout, nous sommes toutes faites pour le plaisir, et nous aussi il nous arrive de pécher
    — Vous avez raison. Mais si je peux accepter, voire encourager, une certaine sensualité, je ne peux accepter qu’elles prennent du plaisir avec le jardiner, ou avec un autre homme.
    — Vos avez raison sur ce point, ma chère. Si nous leur montrions que les hommes sont superflus ?
    — Bonne idée. Vous avez remarqué ma panoplie, je suppose ?
    
    A ces mots, la Mère Supérieure se dirige vers l’étagère. Elle y prend deux godemichés de cuir noir, assez impressionnants, et en tend un à Madame de Valençon. Puis elle ôte sa robe. Madame de Valençon ne peut s’empêcher d’admirer son corps voluptueux. Elle est vraiment toujours aussi excitante : sa croupe ferme, ses cuisses pleines, sa taille fine, ses gros seins arrogants, son sexe gonflé,… son corps plantureux dégage une aura de sensualité épanouie, et laisse augurer des plaisirs intenses qu’elle peut procurer à ses partenaires. Madame de Valençon en éprouve une bouffée de chaleur, et un désir intense la saisit. Les deux novices contemplent, bouche bée, le corps nu de leur supérieure ; partagées entre l’admiration, le désir et l’étonnement, elles n’auraient jamais imaginé la tournure que prendraient les événements. Elles pensaient être punies pour avoir péché, mais elles se rendent compte maintenant qu’elles vont être éduquées à l’amour par une femme aussi experte que vicieuse. Déjà, la mère supérieure attache les lanières de son ...
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