Au couvent
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
ff,
fff,
jeunes,
religion,
grosseins,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
contrainte,
Masturbation
Oral
fgode,
fdanus,
attache,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... Évidemment, elle n’a aucune peine à pénétrer le sexe poisseux de la soubrette, que la seule vue d’un corps nu suffit à faire mouiller abondamment. Les deux femmes gémissantes sont friandes de ce genre de coït spontané, aussi intense que bref. Bientôt, elles gémissent à l’unisson, et quand Elodie commence à étirer et à pincer les tétons, sa maîtresse approfondit ses caresses et lui introduit trois doigts jusqu’au fond. Elles ne tardent pas à partir dans un orgasme partagé.
Leur désir rassasié, les deux femmes reprennent leur rôle habituel. Elodie aide sa maîtresse à enfiler ses bas, ses dessous, et sa robe de soirée bleue au décolleté vertigineux. Elle doit l’ajuster correctement, pour que la poitrine volumineuse de sa maîtresse reste couverte par le tissu. Elle lui enfile d’autres bijoux, et l’aide à mettre sa perruque.
Madame de Valençon a pris sa décision. Elle se rendra au couvent pour voir Soeur Amélie et lui tirer les vers du nez. Elle fait atteler son carrosse et se fait amener chez les Soeurs.
Soeur Amélie l’accueille avec sa chaleur habituelle. Elle l’emmène vers son bureau. Les deux femmes commencent à discuter, et Madame de Valençon ne tarde pas à amener la discussion sur la personne de sa fille. Mais, au moment où elle allait poser des questions plus précises, on frappe à la porte du bureau. La mère supérieure fait entrer une religieuse suivie de deux jeunes novices. La première des novices est une jeune femme au teint hâlé. Sa bouche sensuelle semble ...
... faite pour les baisers, et ses yeux noirs pétillants trahissent une certaine vivacité d’esprit. L’autre novice est une jeune file au visage menu et au teint diaphane. Elle est très mignonne, mais ne dégage pas la même aura de sensualité que sa compagne.
— Ma mère, je vous amène ces deux novices, Eléonore et Sylvie.
— Que s’est-il passé ?
— Nous les avons trouvées en pleine fornication avec le jardinier.
— Mais encore ? Les a-t-on prises sur le fait ?
— Oui ma mère, dans le cellier.
— Bien. Amenez-les dans la salle, je vais m’en occuper.
La religieuse emmène les deux novices par la porte qui donne dans le fond du bureau de la mère supérieure, qui continue à deviser avec Madame de Valençon. Après quelques minutes, la religieuse ressort, et quitte le bureau après avoir baisé la main de sa supérieure. Celle-ci se lève, et invite Madame de Valençon à la suivre.
Elles pénètrent dans une pièce aveugle. Les deux novices sont au milieu de la pièce. On a attaché leurs poignets à des bracelets de cuir pendus au plafond. Elles sont entièrement nues, mais on leur a laissé leur coiffe. La plus jeune est un peu effarouchée, et regarde ses pieds. Elle serre ses cuisses, sans pouvoir dissimuler son pubis couvert d’un fin duvet blond. Ses petits seins dressés sont couronnés de gros tétons roses gonflés. L’autre novice a un tout autre comportement. Elle sourit, et semble déjà savoir ce qui l’attend ; elle regarde effrontément les deux femmes qui viennent de rentrer. Solidement campée ...