1. Initiation parisienne


    Datte: 01/06/2020, Catégories: fhh, hagé, groscul, poilu(e)s, vacances, caférestau, BDSM / Fétichisme nopéné, init, Auteur: Jean-Paul60, Source: Revebebe

    ... dos, lui offrant son ventre détrempé ; puis une autre fois, pour la première fois, sa bouche ; mais aussi Sandrine lui interdisant depuis toujours de pénétrer l’anneau rose de ses reins, prétextant que c’est sale, dangereux… Sandrine refusant toujours d’aller jusqu’au bout d’une fellation et de recevoir sa jouissance dans la bouche, Sandrine à qui pourtant il a fait découvrir le plaisir d’être elle-même sucée et bue.
    
    Il se demande si en fait, il sait bien la prendre, s’il n’aurait pas dû la laisser connaître un ou deux autres gars avant lui. Il commande un autre cognac qu’il avale d’un trait, paie et sort du bistro, un frisson lui assaille le crâne au contact de l’air frais du dehors. Là-bas, il la devine avant de la voir, serrée dans sa veste de faux vison, il se demande si le peintre regarde toujours la cuisse dénudée au-dessus du bas, il hésite à s’approcher… il temporise.
    
    Sandrine tremble de tout son corps ; elle s’est rendue compte du regard insistant que jetait le dessinateur sur ses cuisses et machinalement elle a tiré sur le bas de la jupe en tricot et commencé de décroiser les jambes. Il l’a aussitôt arrêtée dans son geste :
    
    — NON… reste comme ça, tu as de très belles cuisses et c’est très bien de porter des bas c’est mieux qu’un collant !
    
    Elle est désemparée… à l’idée qu’il voit aussi haut sous sa jupe. Il ajoute :
    
    — Sois cool, je suis le seul à te voir, relève encore un peu ta cuisse droite… voilà !
    
    Elle lui obéit, éperdue, et cette fois il a une ...
    ... vue imprenable sur la chair crémeuse au-dessus du bas.
    
    — C’est pour faire plaisir à ton mari que tu mets des bas ?
    — Ou… oui… bredouille-t-elle
    
    Le questionnaire torride se poursuit :
    
    — Tu en mets aussi avec un porte-jarretelles ?
    
    Le souffle court, elle répond par l’affirmative
    
    — Remarque, déjà comme ça c’est très bien !
    
    Les yeux baissés, elle ne réalise pas tout de suite que Paul est revenu et qu’il suit par-dessus l’épaule de Blaise l’évolution du portrait. C’est lui qui la sort de son nuage
    
    — Tu es très réussie… ma chérie !
    
    Elle sursaute et cette fois décroise les jambes, resserrant presque peureusement sa veste sur elle.
    
    — Je pense qu’elle est quand même mieux en nature que sur le papier !
    
    C’est Blaise qui prononce ces mots en regardant Paul dans les yeux puis Sandrine et qui enchaîne :
    
    — Je ne demande que çà : la voir et la dessiner en Vénus…
    
    Il décroche les pinces à dessin et tend le portrait à Paul.
    
    — Allez, j’ai assez dessiné pour aujourd’hui et ça ne me dit rien après ça de me faire une japonaise ou une mamie du troisième âge.
    
    Sandrine se déride… Elle s’est approchée d’eux, tirant machinalement sur le tricot de sa jupe comme si elle craignait de se dévoiler à nouveau. Le portrait est très réussi, même si son visage est un peu plus fin sur le dessin qu’en réalité. Blaise l’a représentée comme si elle était vêtue d’un corsage échancré, laissant son imagination descendre sur la poitrine dont il a suggestivement ombré le sillon ...
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