Religieuse âgée, infirmière libérale
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
fh,
fagée,
jeunes,
religion,
intermast,
entreseins,
Oral
fsodo,
uro,
Humour
totalsexe,
h+medical,
Auteur: Mimi, Source: Revebebe
... obscènes :
— Baise-moi, défonce-moi, pénètre-moi à fond. Encore, ouuiii encore, ah ! ah ! aaahh ! je jouis, je jooouuuiiiiis.
Sa vulve palpite sur mon chibre, j’éjacule sans fin tandis qu’elle s’empare sauvagement de ma bouche et accueille ma langue avec voracité.
Couché près d’elle, toujours affublée de son auréole gaufrée blanche, à l’image d’une icône, sans notion du temps passé, je caresse ses seins lourds effondrés, je flatte son gros cul, j’explore ses sillons intimes, je pince, je mords ces chairs flasques et apaisées. Mes doigts s’évertuent à faire naître des frissons, ça y est la femelle se réveille, je la fais mettre à genoux pour mieux admirer ses lourdes mamelles pendantes, son cul large et rebondi, je me place derrière elle, je lèche son anus, elle glapit et s’insurge :
— Que fais-tu mon petit ?
— Je vous prépare pour un autre voyage.
— Non, non ça ne se fait pas, je ne veux pas.
Moi, énervé par tant d’hypocrisie, je lui saisis fermement les hanches et je deviens vulgaire :
— Et le reste, ça se fait, grosse salope ? Tu vas voir, tu vas en redemander grosse truie.
Pour la mater, je la fesse à grandes claques sonores, elle se redresse comme une furie et nous luttons corps mêlés et suants dans les draps froissés. J’adore ses coups de nichons quand elle me domine ; je jouis de ses cuisses chaudes qui m’emprisonnent quand je me retrouve sur elle et qu’elle m’insulte, yeux fous au milieu de sa collerette cabossée qui bientôt vole et laisse ...
... apparaître son crâne rasé. Je l’embrasse à pleine bouche tout en la pelotant, alors elle fond et se rend :
— Prends-moi par où tu veux, jeune chien.
J’insiste :
— Je veux te prendre par le cul, mon amour interdit.
À ces mots, elle tend sa croupe en arrière, campée sur ses genoux ronds, je m’ajuste à sa rosette, elle frémit de peur et d’envie, je la fais languir et lui indique, pervers :
— C’est quand tu veux ma belle.
Je crache ma salive sur mon gland et j’excite sa rondelle par des petits mouvements, elle frissonne et dit :
— Maintenant !
J’enfonce lentement l’orifice fermé. Elle se crispe, une grosse baffe sur son cul la détend, mon chibre s’enfonce dans la motte, je la pénètre jusqu’aux couilles. Elle finit par pousser un « ah ! » de satisfaction puis des :
— Ah ! ouii ! ah ! ah ! oui c’est trop bon.
C’est maintenant son gros fessier qui vient à la rencontre de mon pal tandis que, de ma main droite, je lui astique le clitoris démesurément allongé. Je branle ce petit bout de chair, je le pince, je sens la nonne qui monte en puissance, sa chatte jute à flots tandis que son boyau lustre ma pine comme le ferait un fourreau en poils de loutre humides et gluants et chauds.
Sous mes coups de bassin, ses gros seins s’agitent dans tous les sens, elle hurle à la lune, tête rejetée en arrière. Cette femelle m’inspire, je caresse ce crâne rond et lisse puis mes mains empoignent les épaules grasses de chaque côté du cou blanc, large et court et tirent dessus ...