Religieuse âgée, infirmière libérale
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
fh,
fagée,
jeunes,
religion,
intermast,
entreseins,
Oral
fsodo,
uro,
Humour
totalsexe,
h+medical,
Auteur: Mimi, Source: Revebebe
C’était une bonne sœur grassouillette, son visage était encadré par une fraise à la Henri IV, elle avait des joues pleines et lisses et son regard était sévère avec des petits yeux porcins. Sous son aube noire, on devinait des formes opulentes, elle paraissait large en raison de sa petite taille. Elle avait la réputation de ne pas être une marrante et de manquer de douceur dans les soins qu’elle dispensait à domicile, sur les ordonnances du médecin.
Depuis deux jours, elle passait me visiter pour me poser des ventouses, je me retrouvais seul avec elle et j’étais impressionné par son port et ses façons revêches. Elle remontait mon tricot et posait ses ampoules, puis elle retirait le tout avec dextérité et me commandait de me couvrir ; tout en redescendant mon tricot, j’avais noté que ses petits doigts boudinés frôlaient mon dos et s’attardaient un peu.
Son odeur d’encens, sa voix de maîtresse, ses gestes énergiques et ses habits religieux me faisaient un effet curieux, je pensais à la femelle qu’elle était malgré elle et ses odeurs intimes me chatouillaient les narines au point de provoquer sous les draps une réaction de mon pénis : heureusement qu’elle ne se rendait compte de rien, croyais-je ! Une fois la nonne partie, je regardais ma queue dressée et je me caressais violemment pour éjaculer comme une bête dans ma main.
Aujourd’hui elle est arrivée plus tôt, pour un examen complet car, dit-elle, j’étais guéri et elle devait s’assurer que tout était en ordre car ...
... elle ne reviendrait plus. Cette pensée m’attrista et je décidai de me plaindre pour lui faire reporter sa décision. J’avais noté son air grave, préoccupé, la sécheresse de son ordre quand elle m’avait demandé de m’asseoir dans mon lit et de quitter mon tricot de peau. J’avais frissonné de me retrouver torse nu devant elle et sous le froid du stéthoscope qu’elle promenait sur mon dos, je ne la voyais pas mais je sentais sa présence et son silence me faisait gamberger.
J’attendais que ses doigts me palpent, ils le firent, ils allèrent le long de ma colonne vertébrale, sournoisement, ma peau se hérissa tandis qu’elle ne pouvait l’ignorer et que ses « oui, oui, je vois » me laissaient perplexe. Elle me demanda, toujours fermement :
— Couche-toi !
J’obéis à cet ordre délicieux et tandis qu’elle se penchait sur moi, assise au bord du lit, pour examiner ma langue, je sentais sa hanche contre mon torse. Je reluquais le plastron exagérément bombé par sa grosse poitrine, je me retenais de bander en m’affolant de mes pensées sacrilèges. Elle palpait maintenant mon torse sans douceur, je fermais les yeux à demi pour savourer ces palpations et je surpris dans son regard comme une fulgurance de lubricité. C’est le moment qu’elle choisit pour me pincer violemment un téton, je criai sous la douleur et elle, sans se démonter bien que rougissante, décréta :
— C’est bon, tu vas mieux.
Elle en profita pour me caresser maternellement la poitrine avant de me recouvrir, puis sa main ...