1. Religieuse âgée, infirmière libérale


    Datte: 01/06/2020, Catégories: fh, fagée, jeunes, religion, intermast, entreseins, Oral fsodo, uro, Humour totalsexe, h+medical, Auteur: Mimi, Source: Revebebe

    ... s’attarda en une lente caresse sur ma joue. Peu désireux qu’elle mette ainsi fin à sa visite, j’émis une petite plainte, elle questionna sévère :
    
    — Qu’y- a-t-il ?
    — J’ai mal au ventre, geignis-je, yeux mi-clos.
    
    Son visage s’empourpra et ses yeux brillèrent d’un soudain éclat sauvage, ses mains ne furent pas longues à passer sous les draps, ses doigts commencèrent à palper mon abdomen sans douceur :
    
    — Là ? … et là ? interrogeait-elle, tout en étant tournée aux trois-quarts en direction de mon bas-ventre.
    
    Je réagissais en secouant la tête négativement tout en lorgnant ses gros seins si proches. À un moment, je feignis de ressentir une douleur et je m’agrippai à sa cuisse ferme sous le tissu noir, mon sexe bandé frôla ses doigts. Alors, tout en rougissant, elle joua les pros en disant :
    
    — Je vois…
    
    Ses doigts, sans en avoir l’air, par touches successives se rapprochaient de l’élastique de mon pantalon de pyjama et moi je me tortillais et je geignais chaque fois un peu plus fort, tout en serrant les chairs de sa cuisse sans qu’elle pense à se dégager. Elle appuyait par petites touches les côtés de mon triangle pubien tandis que ma bite se dressait. Elle frôla mes couilles pleines, puis mon chibre qu’elle caressa sans en avoir l’air à travers le tissu ; je gémis sous la tension électrique procurée, alors, cramoisie, elle se leva brusquement et se jeta sur le verrou qu’elle tourna vivement.
    
    À nouveau assise près de moi, elle reprit ses palpations de médecin en ...
    ... se justifiant de son geste précédent :
    
    — Quelqu’un pourrait entrer et tu ne voudrais sans doute pas qu’on te voie ainsi ! précisa-t-elle tout en faisant glisser vers mes genoux le pantalon de pyjama.
    
    Je rougis de voir ma verge dressée, avec son bout cramoisi. Les mains de la religieuse entourent mon membre et celle-ci, toujours aussi professionnelle, me demande :
    
    — C’est là, hein ! que tu as mal ?
    
    Moi, dans un souffle je réponds :
    
    — Oh oui, ma sœur !
    
    À ces mots, je sens ses gros seins s’aplatir sur mon ventre et une douce chaleur envahit ma verge, la nonne a rugi et a enfourné ma bite dans sa bouche, aux lèvres jusqu’alors pincées et que maintenant je sens ourlées et gonflées sur mon gland. Elles vont et viennent sur mon chibre enduit de salive, ma main fourrage sous la robe sans que la nonne se rebiffe ; au contraire, je sens les grosses cuisses qui s’écartent, je palpe les bas grossiers et je trouve bientôt la chair dénudée en haut de leur couture. La peau est chaude et douce et molle.
    
    J’entends la suceuse qui geint, la bouche pleine. Elle s’agenouille sur le lit, fesses tendues vers mon visage, sans abandonner sa profonde caresse buccale. Elle se raidit quand un de mes doigts s’insère derrière le tissu de sa culotte, frôle son con inondé puis rentre entre les lèvres de son vagin. Ma phalange doigte doucement, j’ai peur de la dépuceler. Je regarde ce gros cul, caché sous la robe, onduler lentement au rythme des pompages que la femelle enturbannée fait ...
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