Et pour finir...
Datte: 31/05/2020,
Catégories:
fh,
gros(ses),
groscul,
douche,
amour,
volupté,
odeurs,
Oral
pénétratio,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... oreille.
— Ecoute, mon ange… je t’ai dit tout çà parce que je VEUX que tu saches que je me livre entièrement à toi ! Je ne veux pas laisser échapper la moindre chance de parfaire notre amour. Tu m’entends bien ? J’ai ri, tout à l’heure, parce que je suis enfin moi-même depuis… je ne sais pas… depuis que je suis née, au moins !
— …
— Fred, mon amour… j’ai encore besoin de toi… Viens en moi, fais moi l’amour, je t’en supplie…
J’ai longuement hésité avant de vous révéler ce qui va suivre… C’est ce qui précède qui rend cela beaucoup trop… intime ! Mais, vous avez eu la patience, et parfois l’indulgence de nous lire jusque là, alors, d’une certaine façon, je vous le dois.
Je suis venu entre ses jambes et mon sexe a trouvé seul l’entrée de son antre d’amour. Je suis resté un court instant à l’entrée, juste assez pour sentir qu’une fournaise m’y attendait. Elle m’a dit :
— J’ai envie de toi, Frédéric.
Puis elle a posé ses mains sur mes fesses, en gardant la bouche ouverte. Elle gémissait déjà avant que je ne rentre en elle. J’ai soudé ma bouche à la sienne en même temps que j’ai poussé. Elle m’y a aidé : m’a fait rentrer complètement en elle, en tirant violemment sur ses bras, alors que je voulais y aller doucement. Les muscles de son vagin ont été pris de contractions quasiment immédiatement, alors que des flots de liqueur se répandaient autour de ma verge. Elle s’est mise à crier… Qu’elle m’aimait… qu’elle venait ! Des larmes coulaient de ses yeux, allaient se ...
... perdre dans ses tempes, sur mon oreiller. Elle s’est mise à hurler, à me serrer convulsivement dans ses bras…
C’était… incroyable ! Je me suis immobilisé tellement j’ai eu peur pour elle !
Je me suis demandé, de façon complètement absurde et irrationnelle si mes voisins n’allaient pas croire que j’égorgeais quelqu’un chez moi !
Et elle continuait d’être agitée par son orgasme qui durait, et durait. Je sentais ses tétons durs comme de la pierre qui piquaient ma poitrine. J’étais complètement ébahi, désarçonné… BOULEVERSE ! A tel point que je n’ai pas joui ! Son vagin trayait ma bite et aucun jus n’en sortait ! Des perles de sueur allaient rejoindre ses larmes. Et les spasmes ont fini par s’espacer et se calmer.
Quand j’ai été sur le point de croire qu’elle s’était endormie, elle a rouvert doucement les yeux. Ils étaient noyés de larmes. Et elle me souriait… de tout son être ! J’étais toujours en elle. Toujours aussi dur et tendu. J’ai laissé mon corps épouser le sien et j’ai repris sa bouche. Je ne pensais pas pouvoir me montrer plus tendre que je ne l’avais été pour elle depuis hier soir, mais je le voulais de tout mon cœur. C’est elle qui a mis fin à notre baiser.
— Mon amour… Je te sens toujours en moi… Tu n’as pas joui ?
— Non. Mais, j’ai joui plus que de raison, là !
J’ai tapoté mon front de mon doigt. Puis mon cœur, en lui souriant.
— C’est gentil de me dire çà… Mais et toi ?
— Ecoute, mon ange et n’aie pas peur… …J’ai un petit problème de ce côté là ...