1. Et pour finir...


    Datte: 31/05/2020, Catégories: fh, gros(ses), groscul, douche, amour, volupté, odeurs, Oral pénétratio, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... bite en avant. Je la prends, cette "put…" de douche !… Il me vient une idée.
    
    — Charli, s’il te plait, viens voir…
    
    Elle arrive 10 secondes plus tard (mon appartement est petit).
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ?…
    — Je voulais te demander…
    — Oui, quoi ?
    
    Elle approche encore un peu. J’entrouvre le rideau. Le jet coule encore. Soudain, j’attrape son poignet et l’a tire dans la douche avec moi. Je la plaque au carrelage. Son autre poignet se retrouve aussi plaqué à la céramique. Je lui souris, une lueur d’amusement dans le regard. Elle est complètement abasourdie par mon comportement. Muette.
    
    — Bonjour, vous…
    — …
    — Pas très prudent de vous balader, seule, aussi loin de chez vous…
    
    Elle aimerait bien me répondre, mais maintenant, il y a autre chose dans son regard… un désir immense ! Et un amour encore plus grand ! Je maintiens ses bras et viole sa bouche. L’eau continue de nous couler dessus. Je ne la sens même plus. Elle geint dans ma bouche, me dit "non", pendant que je harcèle sa langue, tente de libérer ses poignets. Je la maintiens crucifiée au carrelage. Sa robe n’est plus qu’une éponge saturée d’eau. Charli relâche et appuie successivement la pression de ses lèvres sur les miennes, en gémissant et en criant dans ma bouche. Je ne sais pas combien de temps a duré ce baiser. Quand je libère sa bouche, sa respiration est complètement chaotique, entrecoupée d’expirations violentes, d’inspirations de panique, de petits cris de souris. Mon souffle à moi ne vaut guère ...
    ... mieux. Et ma verge est tendue à m’en faire mal.
    
    — Vous savez que vous êtes belle dans cette robe ?!…
    — Fred… Hhh… Espèce de… Malade !… Tu veux me tuer, ou quoi ?!…
    — Non !… Il m’est juste venu des envies de viol… Mais, c’est de votre faute, aussi…
    
    Elle est toujours plaquée au mur. Des émotions contradictoires passent dans son regard : amour, crainte, amusement… désir. Ses cheveux sont collés à son crane, son cou, ses épaules, le haut de son torse. Elle a retrouvé un semblant de calme. Je relâche ses poignets, remonte ses bras en les caressant, tout doucement, en la fixant dans les yeux. Il se passe bien une minute avant que mes mains n’atteignent ses épaules. Au passage du dessous de ses bras et de ses aisselles, je sens une contraction violente de tout son corps. Je suis sûr qu’elle se souvient de ce que je lui ai fait cette nuit. Même si ses bras sont maintenant libres, elle les maintient dans la position où ils étaient.
    
    — Oh oui… violez-moi, monsieur le satyre…
    
    Tiens, elle veut jouer aussi…
    
    — Ah non… si tu me le demandes, ce ne sera plus du viol…
    
    Je fixe toujours ses yeux. Elle a du mal à soutenir mon regard. Ses joues sont rouges comme un coucher de soleil un soir d’été. Mes mains se posent délicatement sur ses seins, par dessus sa robe. Elle est plutôt évasée et descend jusqu’au dessous de ses genoux.
    
    — Charli… Tu veux bien remonter ta robe, s’il te plait ?…
    
    Là, son teint s’enflamme encore plus. Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait qu’elle ...
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