Et pour finir...
Datte: 31/05/2020,
Catégories:
fh,
gros(ses),
groscul,
douche,
amour,
volupté,
odeurs,
Oral
pénétratio,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... éprouve de la honte. Une sorte de hoquet traverse sa poitrine et ses mains descendent et se posent sur le haut de ses cuisses. Elle me dit qu’elle m’aime avec ses yeux, qu’elle a confiance en moi. En trois mouvements de tractions, sa robe se retrouve tire-bouchonnée autour de ses hanches. Malgré le jet de la douche qui continue de couler sur nous, une étrange odeur monte de son entrecuisses et assaille mon cerveau. Un mélange de mouille et… d’urine ! Quand elle voit dans mes yeux que j’ai compris, son regard à elle passe au-delà de la honte.
— Oh non… mon bébé… c’est pas grave !… Ne pleure pas, je t’en prie… n’aie pas peur de moi…
— …
— Excuse-moi… j’avais oublié que c’était ta première fois avec un homme…
— Non… c’est pas çà… c’est juste que… quand tu m’as demandé de relever ma robe, je me suis rendue compte de ce que çà impliquait… c’est de ma faute…
— Charli… tu veux bien me laisser une seconde chance… je serai doux, cette fois, d’accord ?…
J’ai coupé l’eau, pris ses mains dans les miennes.
— Viens, mon amour…
Je l’ai entraînée en-dehors du bac de la douche. L’eau gouttait de nos corps, de sa robe, se répandant sur le carrelage de la salle de bains. Je m’en moquais éperdument. Elle m’a aidé à retirer sa robe. L’amour était revenu dans son regard, s’il ne l’avait jamais quitté. Elle a laissé sa robe retomber par terre. Je l’ai reprise et l’ai pendue à un fil qui traverse ma salle de bains, et qui me sert à faire sécher mon linge. À l’aide d’une serviette, ...
... j’ai essuyé chaque centimètre de sa peau. J’ai fait glisser sa culotte doucement le long de ses jambes et la lui ai retirée. Après avoir fait couler de l’eau tiède dans le lavabo, j’y ai mis la bonde, j’ai rajouté de la lessive à la main et j’ai mis à tremper sa culotte. Pendant ce temps, elle a terminé de se sécher, et quand elle eut fini, elle m’a séché à mon tour, puis a pendu la serviette à côté de sa robe. Quand elle s’est tournée vers moi, j’ai vu à nouveau le désir dans ses yeux. Je l’ai enlacée en prenant d’infinies précautions, et l’ai embrassée. Elle a répondu à mon baiser un moment puis a décollé sa bouche de la mienne. J’ai été complètement abasourdi par l’expression de son visage : elle retenait à grand peine un fou rire !
— Tu… Pfff !… Tu veux… Hahaha !… Tu veux pas… Haha… non, j’y arriverai pas…
— Quoi ?!…
— Non… attends… Haha !…
Elle se tient le ventre, pliée en deux ! Et moi, je ne comprends toujours pas…
— Fred… Tu… Hhh… veux-pas-un-p’tit-café-d’abord !…
Et elle lâche les vannes ! Je ne sais pas si elle rit ou si elle pleure, tellement son fou rire est énorme ! Son visage se crispe de douleur, par moment. Des larmes coulent sur ses joues. Moi, je n’ai pas envie de rire, même si je me retiens un peu de la rejoindre : je me demande si son rire n’est pas en train de "casser" le désir. Je prends sa main et l’entraîne, sans vraiment la forcer, jusqu’à ma chambre, pendant qu’elle se calme progressivement. Je l’allonge doucement sur mon lit, la recouvre ...