Mon prof de français (4) - Histoires de Sexe

Mon prof de français (4)

... trouvent mon clitoris et y exercent une pression troublante. Il appuie vraiment trop fort en fait, c’est presque douloureux, mais il alterne ces massages appuyés avec de petits mouvements circulaires qui me font littéralement fondre. L’idée que M.Guy peut entendre le clapotement de ma mouille m’est insoutenable, je me retiens pour ne surtout pas gémir. Je ne veux pas encourager R. C’est tellement bon… Il s’est rendu compte que j’avais arrêté de venir à la rencontre de sa verge, et alors qu’il s’était immobilisé au fond de moi pour me masturber, il reprend son mouvement répétitif, rentrant et ressortant de mon intimité sans cesser de frotter mon clitoris. Finalement il se débrouille plutôt pas mal, quand il y met du sien… Je dois désormais lutter pour garder mon sang-froid et réprimer mon envie de jouir. Je sens l’orgasme monter par vagues, j’essaie de déplacer mon bassin pour échapper à ses doigts mais il me maintient fermement contre le bureau.

« Eh bien Mademoiselle Gibert, on dirait que vous commencez à perdre pied ? Vous haletez comme une petite chienne, je n’aurais honnêtement pas parié sur la victoire de votre camarade. »

J’ai tellement envie de lui montrer qu’il a tort, que je peux me contrôler bien mieux que cela, mais le fait est que je ne peux plus me concentrer que sur le corps musclé qui me prend en levrette sous les yeux de mon professeur, à la masse de chair qui me pénètre encore, et encore, et encore, au doux picotement que ses doigts provoquent en ...

... touchant mon clitoris… Je n’ai plus qu’une envie, c’est de laisser éclater ma jouissance, en oubliant que c’est R. qui me la donne, que mon professeur me regarde. Je n’ai plus conscience de rien d’autre, je vais jouir. Soudain, tout s’interrompt. Abandonnée par les assauts de R., je l’entends gémir puis pousser un cri rauque tandis qu’un liquide chaud s’écoule au creux de mes reins, et entre mes fesses. Je… J’ai gagné ! Il vient d’éjaculer ! Pourtant je me sens terriblement vide, frustrée, désemparée. C’est lorsque je sens la main de M.Guy se poser sur ma nuque que je comprends la réalité de ma victoire.

« Eh bien mes enfants, ça s’est joué à peu de choses. Mademoiselle Gibert, je ne vous avais promis aucune récompense si vous l’emportiez, et vous n’en aurez pas. A l’avenir vous penserez à conserver avec respect les objets que j’ai la générosité de placer en vous. Je vais vous demander de quitter les lieux, après tout cette séance était supposée être un cours de latin et vous êtes helléniste. Je dois m’occuper de corriger votre camarade. »

Je reste pantelante face à lui, la semence de R. dégoulinant le long de corps, sans pouvoir faire un pas. Il va vraiment me laisser repartir comme ça, pour la seule raison que j’ai laissé l’œuf vibrant chez moi ? J’étais si près de jouir !

« Peut-être désirez vous également une correction ? » dit-il en constatant mon inaction.

Le ton menaçant qu’il prend me ranime. Je me rhabille prestement et file sans demander mon reste et quitte ...