Mon prof de français (4)
Datte: 31/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: SarahG, Source: Hds
Je viens de découvrir que je ne suis pas la seule étudiante à subir les perversités de M.Guy, mon prof de français. R. et moi assistons au même cours de philo, mais on ne peut pas dire que nous soyons vraiment des camarades de classe. Disons que nous avons quelques antécédents appartenant à un registre différent, je vous laisse lire (ou relire!) « Examen blanc » si cela vous intéresse. En tout cas, le voir se faire branler férocement, je ne trouve pas d’autre terme, par mon séduisant professeur est un tableau des plus excitants. R. a renversé sa tête en arrière et halète bruyamment, de sa bouche s’échappe de temps à autre quelques exclamations : « Oh ! Oui… oui… Merci monsieur, merci ! » tandis que tout son corps semble se tendre sous la main experte de M.Guy. Soudain, sans crier gare, ce dernier interrompt totalement les puissants va-et-vient qu’il exerçait sur sa verge. R. pousse un gémissement désespéré, il devait être tout près de l’orgasme. M.Guy, quant à lui, pousse un soupir exaspéré et essuie d’un geste dégoûté sa main souillée par le liquide pré-séminal de R. sur le torse de celui-ci.
« Vous m’avez énormément déçu, je pensais vous avoir enseigné la maîtrise de soi et le respect des consignes. Mais je vois que vous restez obstinément ancré dans vos vilaines habitudes, puisque vous vous êtes cru autorisé à profiter d’une camarade que je vous avais explicitement désignée comme dévolue à mon usage personnel. »
La tournure professionnelle et distinguée de ses ...
... propos n’atténue en rien le choc que leur contenu provoque en moi. Quoi ? Dévolue à son usage personnel ? Et comment a-t’il su pour notre rencontre dans les toilettes ? Je n’ai pas le temps de me poser davantage de questions : M. Guy se tourne vers moi et m’ordonne d’une voix sèche :
« Déshabillez-vous, et appuyez vous contre mon bureau. Vous êtes familière avec la position. »
Mon corps semble agir indépendamment de mon esprit, je m’exécute. Lorsqu’il parle ainsi, avec cette voix profonde pleine d’une assurance grave, non seulement je ne vois aucune alternative à l’obéissance mais je ressens une profonde plénitude à faire ce qu’il ordonne. En quelques secondes me voilà nue, le haut de mon corps reposant sur le pupitre et les jambes légèrement écartées. Dans cette position je fais face à R., dont l’érection est toujours aussi impressionnante. M. Guy, qui s’est placé derrière mon dos, déclare à son intention :
« Je suis prêt à passer l’éponge. Vous pourrez même jouir aujourd’hui, si vous y mettez du vôtre. Vous allez baiser Mademoiselle Gibert, qui n’attend probablement que ça, et si vous parvenez à la faire jouir je consentirai à vous accorder un orgasme. Autrement… Nous verrons bien ce qu’il se passera autrement. »
La situation est foutrement excitante. Je ressens une certaine reconnaissance envers M.Guy, comme s’il était l’instrument de la justice divine, me rendant l’orgasme que ce goujat n’a pas pris la peine de me donner lorsqu’il m’a baisée violemment dans les ...