1. Mon prof de français (4)


    Datte: 31/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SarahG, Source: Hds

    ... toilettes du premier étage. Je ne suis pas moins outrée par l’idée qu’il me touche à nouveau, cependant. Sommes-nous donc tous les deux des poupées, des marionnettes entre les mains de notre maître, dont il peut disposer, qu’il peut punir et manipuler à sa guise ? Il semblerait, et cette pensée provoque en moi un frisson.
    
    « Vous n’y voyez aucun inconvénient, n’est-ce pas ? »
    
    Cette fois-ci c’est à moi qu’il s’adresse, en effleurant du bout de ses doigts l’entrée de mon sexe. Je suppose que le gémissement que je pousse n’est pas assez clair, puisqu’une de ses mains s’abat violemment sur mes fesses nues.
    
    « J’exige une réponse, lorsque je m’adresse à vous. »
    
    « Non, Monsieur, je n’y vois aucun inconvénient. »
    
    Il intime d’un claquement de doigt à R. de s’approcher. En temps normal je ne demande qu’à jouir, personnellement, mais je suis quasiment certaine qu’il y parviendra avant moi. Déjà, il est dans un tel état d’excitation après la branlette qu’il vient de subir qu’il aura probablement beaucoup de mal à se contrôler. De plus il n’a pas l’air d’être le genre d’amant habitué à faire durer les choses dans la longueur, si j’en crois mon expérience. Et puis… Je n’ai aucunement l’intention de l’y aider ! Au contraire, l’idée de le voir se faire punir par M. Guy m’enchante plus que de raison. Ce dernier s’est assis sur le pupitre du premier rang, en face de nous. Les bras croisés, le regard sévère, il ordonne à R. de commencer. Ses mains se posent sur mes hanches, ...
    ... tandis que je sens le gland de son sexe se poser sur le mien. Lentement, avec des mouvements amples et contrôlés, il commence à me limer. Je ne suis pas insensible à ce rythme, mais lui non plus. Régulièrement, il s’arrête quelques secondes, comme pour reprendre son souffle, et je sens qu’il fait des efforts démesurés pour se retenir d’y aller franchement, aveuglé par son désir de lâcher sa semence brûlante au fond de moi. J’aurais presque pitié de lui. Je n’ose pas lever les yeux vers M. Guy, mais je sens son regard contemplatif posé sur nous, ce qui me fait presque davantage d’effet que les vas-et-vient entrecoupés de R. Chaque coup de hanche, chaque mouvement du bassin le rapproche un peu plus du précipice, et il a tellement envie de s’y jeter, de me défoncer, de relâcher toute cette tension… Je prend un malin plaisir à faire venir mon cul à sa rencontre, de briser le rythme contrôlé qu’il s’efforce de maintenir. Oui, j’aurais presque pitié de lui, mais pas au point de m’en priver.
    
    « Touche-toi… » grommelle R. à mi-voix.
    
    Je jette un coup d’œil interrogateur vers mon professeur. M.Guy a très bien entendu, et réplique d’un ton sec :
    
    « C’est à vous de la faire jouir, elle n’a pas à participer. Si vous estimez nécessaire qu’elle se touche, comme vous dites, faites le vous même. »
    
    R. passe une main sous mon ventre et la glisse entre mes cuisses. Ce n’est plus la même histoire. Je peux probablement résister indéfiniment s’il se contente de me pénétrer, mais ses doigts ...