1. Café-philo


    Datte: 30/05/2020, Catégories: fh, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: L'épistolier, Source: Revebebe

    ... les contempler, se gorger de leur image.
    
    Ce qui le fascinaient était le centre, les aréoles et les tétons. Ils étaient d’une couleur très sombre. Quand il les avait devinés sous son chemisier, il avait été considérablement excité. Cette excitation redoublait maintenant. Il voulait à la fois les sucer, et les toucher, les tripoter. Il commença par les effleurer du bout des doigts puis, les voyant se dresser encore plus, il prit l’un d’eux entre le pouce et l’index de sa main droite et, maintenant sa pression, il l’étira légèrement. Sophie le laissa faire. Bien qu’elle ait rabattu sa jupe, par la position qu’elle avait maintenant, assise sur le sol, les jambes repliées mais légèrement écartées, il pouvait aussi contempler son sexe. Jason testa l’autre téton. Sophie poussa un petit gémissement.
    
    Les hommes ont souvent une grande fascination envers les seins. Ils les souhaitent souvent opulents. Il est vrai que comme le dit la boutade que si les femmes ont des seins c’est peut-être parce que les hommes ont des mains. Pouvoir saisir à pleines mains ces rotondités et les malaxer doucement est une sensation d’expérience si particulièrement plaisante que l’on peut s’imaginer qu’elle fait partie des grands schèmes moteurs inconscients qui conduisent l’homme à un bien être. Les femmes le savent qui se plaignent souvent quand la nature ne les a pas généreusement dotées de tels attributs.
    
    Mais Jason n’était pas commandé que par ces schèmes moteurs. Il avait toujours vu les ...
    ... femmes comme un tout. Non seulement le physique n’était pas prépondérant pour son attirance envers une femme mais, même sur ce plan, il n’était pas prédéterminé. Une poitrine plate pouvait tout autant l’exciter que deux gros globes. La forme, la couleur ou le grain des aréoles et des tétons contribuaient beaucoup au charme. La minceur des seins de Sophie était compensée par l’extraordinaire attrait qu’avaient pour lui ces deux fraises brunes ressortant sur la peau mate.
    
    Pendant qu’il songeait à cet attrait, elle s’était agenouillée contre lui et alors qu’il l’embrassait tendrement, ses mains agirent comme il le souhaitait. Sophie, aventureuse, ne restait effectivement pas inerte. Elle avait commencé à caresser les cuisses de Jason et ses mains maintenant s’aventuraient vers le haut de son pantalon, vers son sexe. Jason lui demanda si elle voulait rester là ou si elle voulait qu’ils rejoignent maintenant sa chambre. Plus tard, répondit--elle.
    
    Jason à ce moment n’était pas très fier. Il s’était relâché depuis deux ans. Il ne faisait plus de sport, il avait abandonné provisoirement le karaté, et son corps s’était un peu avachi. Il en était presque honteux. Mais Sophie ne semblait pas vouloir s’en préoccuper, ni le voir. Elle avait envie d’un homme, un homme en particulier et cet homme c’était lui. Les femmes, les vraies femmes, les femmes femmes se souciaient en fait assez peu, sur le fond, du physique ; Sophie non plus. Elle avait envie de lui, elle avait envie de son sexe en ...
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