Soirée de filles - Histoires de Sexe

Soirée de filles

... mémoire chacun des détails. Je vais dessiner ça !

Je m’éloigne un peu de Sophie et lui dis :

— La passion de Johanne c’est le dessin. Elle voudrait faire une bande dessinée érotique. Elle est tellement… je l’aime.
— Tu arrêtes de m’embrasser, me répond Sophie, pour me dire que tu aimes ta femme ! Je suis jalouse. Je vous aime tellement tous les deux.

Et on s’embrasse de nouveau, laissant Johanne à sa contemplation. Sophie frotte son ventre sur mon sexe qui n’en peut plus. Mieux vaut que je m’éloigne un peu.

Le système de chauffage a bien fait son travail. Il fait effectivement chaud. Je dis à Johanne :

— Johanne, je crois que Sophie a trop chaud. Ce serait bien que tu la déshabilles un peu.
— C’est vrai qu’il fait chaud, reprend Sophie. Je veux que Johanne me déshabille lentement. Mais avant, je crois qu’il y a urgence.

Elle dit cela en regardant la bosse dans mon pantalon. Elle ajoute :

— Il faut absolument libérer le pénis de Benoît qui risque de suffoquer.

Elle s’approche de moi, s’agenouille, défait ma ceinture, baisse ma braguette et d’un coup descend mon pantalon et mon slip. Et voilà mon sexe libéré qui pointe hardiment vers ces deux femmes si belles. C’est Sophie maintenant qui s’exclame :

— Comme c’est beau ! Comme il est beau. Il n’y a rien de plus beau au monde. Johanne, si tu veux dessiner quelque chose, c’est lui que tu dois dessiner. Je suis preneuse, dit-elle, en saisissant mon pénis et en le faisant doucement coulisser dans sa ...

... main.

Je suis trop excité. Ce serait vraiment bête de venir là, comme ça. Je m’éloigne une fois de plus en disant :

— Il est si sensible à la beauté et aux caresses et il pleure de joie si facilement… Allez Johanne, fais-moi découvrir le corps de Sophie.

Johanne enlève le chandail de Sophie, révélant sa chair blanche qui semble si douce. Johanne tombe sous le charme et se met à caresser les seins de Sophie, à les embrasser. C’est moi qui viens en arrière de Sophie, mon pénis érigé lui caressant le bas du dos, dégrafer son soutien-gorge. Johanne peut maintenant en profiter tout à sa guise, les prendre à pleine main, les sucer, les téter à son goût. Mais elle ne veut pas être seule à savourer cette tendre chair. Elle me dit :

— Viens vite, Benoît, viens partager avec moi ce délice.

Sophie a les seins ronds et pleins. Ils sont faits pour bien tenir dans la main. Ses mamelons sont un peu petits mais ils gonflent bien sous l’effet de nos caresses. Ça ne prend pas longtemps que Sophie se met à gémir de plaisir.

Mais nous sommes toujours là au milieu de la place. Après un moment, je prends Sophie par la main et lui dit :

— Viens, suis-moi, nous allons nous offrir un peu plus de confort.

Je l’amène dans notre chambre à coucher. Je lui indique le lit. Elle s’installe et je lui enlève ses bas et sa culotte. Je lui laisse sa petite jupe. J’aime une petite jupe retroussée qui révèle tout… Je crois que je suis un fétichiste de la jupe. Et je dis à Johanne :

— Enlève ...