Chasseresse - Histoires de Sexe

Chasseresse

... Cette créature a dû vous faire beaucoup d’effet, malgré son aspect effrayant.
— Désolé… vous ne m’avez pas laissé le temps de me remettre en tenue correcte.
— Qui vous parle de tenue correcte ? demanda-t-elle la bouche pleine, mmm, laissez-moi vous sucer un peu la bite : j’ai besoin de me détendre après l’action, et rien de tel que le sexe pour relâcher ses nerfs. Vous ne trouvez pas ? J’espère qu’il vous reste un peu d’énergie pour moi : elle ne vous a quand même pas déjà complètement vidé les couilles ? Nous avons un bon quart d’heure devant nous, avant l’arrivée de mes collègues. Détendez-vous et laissez-moi m’occuper de vous. Nous allons nous faire du bien.

Elle enfourna avec gourmandise, jusqu’au fond de sa gorge, la tige de l’homme couché sur le dos, dans le but de raffermir l’érection un peu molle, en s’aidant d’un index inséré dans l’anus afin de masser la prostate, tout en occultant ses dents en retroussant les lèvres à l’intérieur de sa bouche et en chatouillant coquinement les bourses. Dès que le résultat fut satisfaisant, elle abaissa hâtivement son pantalon et sa culotte à ses talons, avant de lui enfiler un préservatif et de s’enfoncer, accroupie, sur la verge dressée vers la lune, avalant le membre d’un seul coup dans le creux de sa gaine vulvaire. Elle fit lentement onduler son bassin, puis de plus en plus vite, se caressant elle-même le clitoris en même temps, et parvint à jouir avant lui en poussant de petits cris aigus. La sensation du vagin soudain ...

... contracté par l’orgasme le fit venir à son tour. Il n’eut que quelques gouttes de semence, mais cette union sous les étoiles acheva de lui prendre les quelques forces qui lui restaient, de sorte qu’il demeura inerte, les bras étendus en croix, les yeux mi-clos et la verge molle, pendant que sa partenaire se rhabillait et que l’on entendait se rapprocher le vrombissement de l’hélicoptère.

— Vous allez maintenant devoir m’accompagner, dit-elle.
— Vous avez besoin de mon témoignage, je suppose.
— Il y a surtout qu’avant que je la mette hors circuit, la veuve noire a évoqué un viol auquel vous auriez participé. Il va falloir qu’on vérifie tout ça. C’est un crime, Monsieur. Vous n’imaginiez quand même pas échapper à la justice ? Allons, votre épreuve n’est pas terminée : vous allez devoir affronter le regard de votre victime, et soulager votre conscience devant vos juges.

Elle tira de sa poche une paire de menottes et lui bloqua les poignets dans son dos. Bien que surpris, il ne fit rien pour résister et ne tenta pas de s’enfuir.

— Je crois qu’il me faut vous remercier une seconde fois : seul, jamais je n’aurais eu le courage d’aller au-devant de la justice des hommes. Même si, pour cela, je devais connaître la prison. Je me sens enfin soulagé d’un poids.
— Qui vous parle de la justice des hommes ? lui répondit-elle en ouvrant sa bouche pour lui révéler des mâchoires aux doubles rangées de petites dents acérées. Il s’agit celle des anges, certes équitable, mais aussi ...