Fin de semaine
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
prememois,
Voyeur / Exhib / Nudisme
uro,
f,
école,
toilettes,
Auteur: Eva87, Source: Revebebe
... porte-manteau et de m’asseoir en tailleur sur la cuvette, elles arrivent à ma hauteur.
Pendant leur séance de remaquillage qui me semble durer une éternité, je démarre une lente masturbation. Une onde de plaisir se libère en moi inconsciemment. Ma main s’active de plus en plus sur mes lèvres mouillées de cyprine. Elles sont toujours là quand ma deuxième main se met à caresser mes tétons. Malgré la petite taille de mes seins, les aréoles sont grandes et très sensibles. Un orgasme silencieux ne tarde pas à m’ébranler.
La bande de copines décide finalement de partir. Après avoir essuyé mon entrejambe dégoulinant, j’entreprends de me rhabiller. J’ouvre mon sac et retrouve toute mes affaires. Je commence par les sandales au cas où quelqu’un aurait le malheur de regarder sous la porte. S’ensuit la jupe, enfilée par le haut. L’effleurement du tissu sur mes pointes me donne des frissons. Je termine par le débardeur. Je laisse mon soutif dans mon sac. J’ai envie de prolonger l’expérience « sans sous-vêtements » encore un peu.
Après avoir tiré la chasse d’eau, pour le côté suspect, je lave mes mains qui en ont, elles, bien besoin. J’observe mon reflet dans la glace : aucun indice ne laisse transparaître ma « nudité cachée ». Mon débardeur est totalement opaque. En quittant la pièce, d’autres filles entrent. Si elles savaient ce que je viens de faire. Je passe par l’infirmerie avant de retourner en cours, pour prendre des nouvelles d’Adeline. Elle va bien mais reste en ...
... observation. Cet après-midi se fera sans elle, dommage.
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Une sonnerie de cloche retentit. L’après-midi s’annonce long. Les colles hebdomadaires nous ont été suspendues. Mais à la place, nous avons une conférence de quatre heuresnon-stop dirigée par l’éminent économiste Aimé SOUHALOR. Et Adeline qui est clouée à l’infirmerie. Je la soupçonne un peu de faire semblant d’être malade pour éviter ça ! J’arrive à la porte de l’amphi juste avant sa fermeture. Il reste cinq rangs complets en partant du fond. Pour déranger le moins possible et éviter de me faire remarquer, je me place au milieu de l’avant-dernière rangée. La conférence a déjà commencé quand j’ouvre mon sac. J’y retrouve ma culotte et mon soutif, mais les cache pour y attraper des feuilles et ma trousse. Je commence à prendre des notes.
Au bout d’une petite heure, je finis par décrocher. Le sujet est vraiment barbant :L’économie taïwanaise de 1600 à 1850. Vous m’en direz des nouvelles. J’observe la salle : les premiers sont trois rangs devant moi, personne derrière. Plusieurs étudiants ont comme moi arrêté de suivre, mais la majorité reste concentrée.
Un nouveau défi me passe par la tête. Ma main droite s’approche de mes lèvres vaginales. L’humidité est palpable. Ma main gauche, elle, s’empare d’un crayon bille et le passe sous ma jupe. Le contact froid du crayon sur mon minou brûlant me donne des frissons. Il écarte mes lèvres intimes et pénètre en douceur. Un mouvement de va-et-vient débute. Ma ...