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Fin de semaine
Datte: 29/05/2020, Catégories: prememois, Voyeur / Exhib / Nudisme uro, f, école, toilettes, Auteur: Eva87, Source: Revebebe
... débardeur blanc et un petit pull en laine pour la fraîcheur matinale. Après réflexion, je décide de ne porter qu’un soutif et pas de culotte. Un nouveau challenge à accomplir. Par précaution, j’en glisse une dans une petite poche de mon sac de cours. Je suis parée pour la journée. La cloche sonne le début des cours. Je me dépêche de fermer ma chambre à clé et descends les marches quatre à quatre pour rattraper mon retard. Ma jupe est très légère et ne manque pas de se soulever dangereusement, mais sans que personne ne le voie. La journée ne fait que commencer ! -------------- La journée commence par quatre heures d’économie. Il m’est difficile de rester concentrée, mais la matière me passionne et je n’en perds pas un mot. J’en oublie même l’indécence de ma tenue. Je suis assise à côté d’Adeline. Elle m’a demandé pourquoi je ne suis pas venue au petit déjeuner. Je lui ai répondu que mon réveil n’avait pas sonné. Elle n’a laissé transparaître aucun doute sur son visage. À midi, la cloche retentit et donne le signal pour aller manger. Après un rapide passage au self, j’accompagne Adeline à l’infirmerie. Elle ne se sent pas très bien. Des maux d’estomac la font souffrir. Je me retrouve donc seule. Les cours ne reprennent qu’à 13 h 30. Encore trois quarts d’heure à tuer. Je passe devant les toilettes. Une idée me vient alors. J’ouvre la grande porte et entre. Personne ! Je pénètre dans la dernière cabine, la plus discrète. Je m’installe sur la cuvette. Non, je ne ...
... suis pas là pour pisser. Je retire mes sandales et les accroche au porte-manteau fixé à la porte. Mon débardeur suit le même chemin et atterrit dans mon sac. Idem pour le soutif. Ma jupe est devenue le dernier rempart à ma nudité. Je défais les boutons et elle tombe sur le sol. Je la range dans mon sac. Ce dernier est refermé après y avoir fait entrer les sandales. Je suis maintenant nue et sans défense. Une excitation aussi soudaine qu’intense me traverse : il faut que j’aille plus loin. Je n’ai toujours entendu personne entrer dans la pièce. J’en profite. Je glisse mon sac sous les plaques de bois synthétique et il bute sur la dernière cuvette. Maintenant, plus moyen de reculer. Je dois passer dans la pièce principale, avancer d’une dizaine de mètres avant de retrouver la cachette de mon sac. Au moment de partir, mes jambes tremblent et faiblissent : un mélange de stress et d’excitation m’envahit. Mais il faut que je me dépêche, quelqu’un peut arriver à n’importe quel moment. Je sors donc de ma cachette. Une immense glace affiche mon reflet. Je ne suis jamais restée à me contempler comme ça, nue, devant une glace. Je me trouve plutôt jolie. Mes mains se posent sur mes seins, et les caressent. Le bruit d’une discussion venant du couloir me fait réagir. Plus de temps à perdre. Je me précipite dans mon nouvel abri, et verrouille la porte. À ce moment-là, un groupe de filles ouvre la grande porte et pénètre bruyamment dans la pièce. Le temps d’accrocher mon sac au ...