Fin de semaine
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
prememois,
Voyeur / Exhib / Nudisme
uro,
f,
école,
toilettes,
Auteur: Eva87, Source: Revebebe
... une excitation croissante, je retire le dernier « rempart » de ma nudité. Je la jette en boule au niveau de la porte de ma chambre. C’est fait. Maintenant, je ne peux plus reculer. Je suis nue au milieu du couloir et terriblement excitée. Je décide d’y aller lentement, pour en profiter. Mais un bruit de loquet de porte me fait rapidement changer d’avis. Si quelqu’un me découvre ainsi, je deviendrai vite la risée de l’école. Et la flaque des toilettes doit toujours être présente. Je cours alors jusque ma chambre, ouvre la porte et entre. Je m’assois par terre, dos collé à la porte, le souffle court. La porte d’une chambre s’ouvre alors. C’était moins une !
Je commence une lente masturbation quand ma robe me revient à l’esprit. Elle doit toujours être devant la porte. Dans ma précipitation, je l’ai oubliée. Mais il y a maintenant quelqu’un dans le couloir. Tant pis, il me faut la récupérer. Un rapide coup d’œil dans l’ouverture, mon bras s’y faufile et attrape l’étoffe. C’est bon, tout est rentré dans l’ordre. Je la mets dans le sac de linge sale et retourne me coucher, nue.
Mes mains sont insensiblement attirées par mon entrejambe. Au moment où mes premiers doigts l’effleurent, un immense frisson traverse tout mon corps. Ce que je viens de faire, les risques que j’ai pris, tout ceci me rend ivre d’excitation. Un orgasme que je dois malheureusement garder silencieux me gagne en quelques secondes. Un sommeil profond et réparateur abaisse mes paupières en quelques ...
... minutes.
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Mon réveil sonne. Il indique 7 h 30. Les cours commencent à 8 h. Habituellement, je ne prends pas de douche le matin et après une légère préparation, je file au petit déjeuner. Mais ce matin, je n’ai pas le choix. Après les péripéties de la nuit, la douche s’impose d’elle-même. Quand je soulève la couette, la fraîcheur matinale effleure tout mon corps. Je repense à ma nuit de folie. Comment ai-je pu en arriver là ?
Je me lève et enfile mon peignoir : pas question de retenter mon exhibition maintenant. Munie de mes gel-douche et shampoing, je quitte ma chambre pour les douches. À cette heure-ci, elles sont toutes inoccupées. À méditer. Je pénètre dans la première cabine et me déshabille. L’eau est chaude. En me lavant, mes caresses sur mon corps me mettent en émoi. Mais ce n’est pas le moment, je risque d’être en retard en cours. Après un séchage express, je quitte les douches. En passant devant les toilettes, je ne remarque aucune trace de mon passage de cette nuit.
Arrivée dans ma chambre, j’ouvre le rideau me séparant d’une lumière naturelle. Dehors, le soleil est déjà levé. La fenêtre de ma chambre donne sur une cour. À cette heure-ci, elle est remplie de jeunes étudiants. En approchant de mon armoire, située à côté de ma porte, je laisse mon peignoir glisser par terre. Au quatrième étage et à l’entrée de ma chambre, je suis invisible de la cour. Mais cette situation me met tout de même en émoi.
Aujourd’hui, ce sera jupe au-dessus du genou, ...