1. Fin de semaine


    Datte: 29/05/2020, Catégories: prememois, Voyeur / Exhib / Nudisme uro, f, école, toilettes, Auteur: Eva87, Source: Revebebe

    ... dire. Je regarde l’heure. Mon réveil indique 3 h 13. J’essaye de me retenir et de me rendormir. Mais rien à faire. J’essaye de penser à autre chose ; l’escalade, un bon sujet. J’ai réussi à monter une 7b aujourd’hui. Épuisante en plus, un surplomb. J’étais tellement assoiffée en descendant la paroi que j’ai bu un demi-litre d’eau d’une traite.
    
    C’est ça. Je ne suis pas allée aux toilettes depuis midi. Un demi-litre d’eau au sport et tout autant pendant le repas de ce soir. Ma vessie habituellement plus endurante, ne tiendra pas longtemps. Je réagis alors rapidement. Je saute de mon lit et sors de ma chambre. Je referme la porte derrière moi le plus calmement possible. Quelle idée ai-je eu de choisir la chambre la plus éloigné des sanitaires ? Une cinquantaine de mètres me sépare de ma libération.
    
    L’envie d’uriner se fait de plus en plus sentir. J’approche mes mains de ma vulve et la comprime. Ce contact charnel me surprend. Ma robe est légèrement relevée : si quelqu’un passe dans le couloir maintenant, il risque d’être surpris. Cette exhibition involontaire m’excite. Pliée en deux, j’avance à petits pas dans le couloir. Il ne faut pas faire de bruit, tout le monde doit dormir. J’atteins enfin la pièce des sanitaires. Les deux toilettes sont en face de moi, la porte fermée. Il me faut me dépêcher, l’envie devient insupportable. Je pénètre dans une cabine et referme aussitôt la porte.
    
    Mince, je n’ai pas allumé la lumière. Comment vais-je faire ? À ce moment précis, je ...
    ... sens ma main se mouiller. Non pas maintenant, pas si proche du but. Mais le flot d’urine augmente, et bientôt je ne me contrôle plus. Je parviens tant bien que mal à me positionner au-dessus de la cuvette, dos à la porte. Mes jambes faillissent et je m’assois.
    
    Ma main est toujours posée sur ma vulve. Elle commence des va-et-vient incontrôlés, qui m’excitent énormément. Je sens une onde de plaisir d’envahir. En une dizaine de secondes, un orgasme violent me terrasse.
    
    Quand je reprends conscience, la source est tarie. La honte m’envahit. Je constate l’ampleur des dégâts : ma robe est trempée jusqu’au nombril et mes pieds pataugent dans une mare d’urine. Mais une grande partie du liquide doré s’est, par chance, écoulée dans les toilettes.
    
    Je ne peux pas aller me doucher maintenant sans éveiller les soupçons de la pionne. Je décide donc de retourner telle que je suis dans ma chambre. Arrivée au milieu du couloir, dans un vent de folie, je décide de retirer ma robe semi-transparente. Je commence par soulever le bas, poisseux de mon urine. Je découvre ma toison taillée en fin ticket de métro. Quelques gouttes perlent de ma vulve. Au point où j’en suis, je décide de ne pas les essuyer. Cette réaction déclenche en moi une nouvelle montée de plaisir. Je continue mon effeuillage et expose la pointe de mes seins. Je reste un moment comme cela, les bras levés maintenant le bas de ma robe, la vue couverte du fin tissu de l’étoffe usée.
    
    Une courte minute plus tard, dominée par ...
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