1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (10)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra.
    
    Nous avons fait encore un bon bout de chemin toutes les quatre jusqu’à arriver à la voiture. La Patricia est restée béate, devant la beauté de la voiture bicolore de Geneviève. Elle s’est approchée pour l’admirer et la patronne lui a fait visiter l’intérieur, j’étais impressionnée de voir combien Geneviève avait les mains baladeuses avec sa visiteuse. Elles se sont assises dans la voiture toutes les deux, puis ont fermé la porte ; Muriel et moi étions dehors, Geneviève et Patricia à l’intérieur, nous ne savions pas ce qui s’y passait. Cela a été plus fort que moi, je n’ai pas pu me retenir de me rapprocher de notre conductrice, qui en même temps m’excitait beaucoup. Nous nous sommes embrassées et je me suis laissée emporter par Muriel, qui m’a plaquée contre elle, je n’avais aucun doute je lui faisais beaucoup d’effet. J’adorerais sentir ce sexe long dur et désireux, dissimulé sous cette robe très féminine, notre chauffeur était en train de donner des coups de reins dans le vide, si nous avions été dans l’intimité je pense qu’il m’aurait pénétrée.
    
    « Allez mes chéries, en voiture on s’en va. »
    
    C’est sur ces mots que Geneviève venait de sortir de la voiture, les deux femmes avaient mis vingt bonnes minutes à se décider comme quoi nous irions déposer Patricia devant chez elle. Durant ce laps de temps, j’avais de nouveau le minou tout mouillé, je pense que Muriel n’était pas loin d’éjaculer. Heureusement il y avait un beau soleil et ...
    ... nous n’avions pas eu le temps d’avoir froid, en même temps Muriel était toujours contre moi, sans doute pour veiller à me garder au chaud. De leur côté, Geneviève et Patricia, je ne pense pas qu’elles avaient mis tant de temps à se décider, je pense qu’elles avaient aussi pris le temps de se bécoter et plus encore. Muriel a donc pris le volant et moi je me suis retrouvée entre ces deux femmes qui avaient l’air bien chaudes. À peine avions-nous démarré et fait quatre cents ou cinq cents mètres, que Patricia nous a montré qu’il y avait des fourgonnettes et quelques tout-terrain garés le long du bois et qu’il devait y avoir son mari dans l’équipe.
    
    J’étais assez choquée que Patricia parle des chasseurs avec si peu de respect en sachant que son mari en était un. En gros nous avions à faire le tour du bois avec les champs compris dedans, pour nous retrouver au domicile de la nouvelle l’amie de la patronne. Muriel prenait son temps au volant, de leur côté, les deux femmes en profitaient pour avoir des mains un peu baladeuses avec moi. Décidément j’étais sans arrêt resollicitée, entre Muriel qui voulait me baiser, voilà que les deux femmes voulaient me chauffer. Vu le temps que Geneviève et Patricia ont eu pour me caresser et me peloter, j’avais l’impression que Muriel avait au moins fait cent kilomètres pour que l’on ramène Patricia chez elle. Cela faisait tout drôle dans le hameau de voir les gens se retourner à la vue d’une aussi belle voiture anglaise. J’ai eu la sensation que ...
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