1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (10)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... effectivement un gros salaire, mais ma disponibilité était totale pour ma chef. À vrai dire elle ne se servait pas vraiment de mon diplôme, mais surtout de mes compétences naturelles en informatique. Quand nous n’étions pas à poil dans la maison, nous étions vêtus de fines longues et douces robes, je peux vous garantir qu’entre nous trois, les mains au cul, il y en avait beaucoup. Un soir sans que je m’en rende compte, Muriel m’a pénétré et m’a balancé toute la purée au fond de moi, elle n’avait pas pris de préservatif. Ce n’est qu’au moment où elle a éjaculé dans mes entrailles, que j’ai compris que pour la première fois elle jouait sans filet. Je n’ai pas relevé ce qui venait de se passer, Muriel était tellement occupée à m’embrasser et continuer à me donner des coups de reins, même si le volume de son sexe commençait à diminuer.
    
    Quand nous avons refait l’amour de nouveau Muriel jouait sans préservatif, à ce rythme-là, je risquais de rapidement me retrouver avec un polichinelle dans le tiroir. Geneviève ne pouvait pas l’ignorer, car régulièrement elle suçait le sexe de Muriel avant qu’elle ne vienne me pénétrer. En sachant que rien ne se passait sans l’accord de Geneviève, il était évident que la patronne voulait que j’aie une descendance avec Muriel. Un soir pendant que la patronne était en train de me butiner la friandise, elle m’a dit que cette dernière n’avait plus le même goût que d’habitude. Je n’ai pas relevé mais cela était en train de commencer à me ...
    ... travailler. Le lendemain midi, Geneviève revenait avec un test de grossesse, bien évidemment ce dernier m’a informé que j’étais fécondée. Geneviève s’est mise à pleurer de bonheur et surtout à m’embrasser avec fougue, quand Muriel est arrivée cela a été la même chose. Manifestement cette grossesse était très désirée même si ce n’est pas moi qui en ai contrôlé les événements.
    
    Geneviève qui se sentait un peu la mère de cœur de Muriel, allait donc se sentir désormais grand-mère et Muriel belle-mère ou papa, à elle de voir. En même temps maintenant on ne dit plus papa ou maman, mais parents un et parent deux. Toutes les trois étions donc très heureuses de cet heureux événement à venir, je pense que le cadre de vie que je pouvais proposer à notre enfant à venir, était vraiment idyllique. Il fallait donc que raison je me fasse, dans huit mois j’allais dépoter le gluant. J’adore cette expression, elle est toute pleine de poésie et surtout imagée. Elle vient d’un sketch de Laurent où il parle de Céline et son mari René. Les semaines qui ont suivi, j’ai senti mon organisme qui se métamorphosait un peu, mais surtout, et c’est là le plus important, j’avais la sensation que ma sexualité était en train de se débrider. Pourtant, je peux vous garantir que Muriel ne se privait pas de me sauter dessus, malgré mon début de grossesse, mais je n’étais jamais satisfaite. Avant je n’avais pas la sensation d’être coincée, mais là j’étais déchaînée. C’est la patronne qui a trouvé une solution, à savoir ...
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