Un peu plus loin dans la débauche !
Datte: 27/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
fdanus,
fsodo,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... dirais pas, si ce n’était pas vrai !… Je refuse de mentir à qui que ce soit… surtout pas à toi !
— D’accord… pardonne-moi…
— Et arrête de t’excuser, tout le temps… Dis-moi, tu ne le sais pas, que tu es belle ?!… Et tu l’es encore plus quand tu souris !
— Non, je ne savais pas… Personne ne me l’a jamais dit…
— Et le jeune homme du salon de thé, il est venu vers toi pourquoi, à ton avis ?… Il y avait plein d’autres dames, seules à leur table…
— Je ne sais pas…
Alors là, je me jette dans ses bras et l’étreins furieusement. Je viole sa bouche, cherche, tout de suite, sa langue. Je passe mes mains à l’arrière de sa tête pour la souder encore plus à ma bouche, la harcèle de mes baisers. Elle s’y attendait tellement peu que je ne sens pas ses mains sur mon corps. Un gémissement naît dans ma bouche pour aller mourir dans la sienne. Un baiser cochon, sale… dépravé ! Bien plus que ce que j’ai fait à sa chatte, tout à l’heure. Sa langue se met à jouer avec la mienne, pendant que ses bras enlacent mes épaules. Mes mains descendent, en une caresse, pour prendre possession de ses fesses, plaquer son bassin au mien. Un cri sort de sa gorge et elle se laisse gagner par ma folie. Mes mains, maintenant animées d’une autonomie propre, passent dans le sillon de son cul, frottent son anus, caressent son périnée. Deux doigts remontent sa fente, affrontent l’entrée de son vagin, vont y recueillir de la mouille. Ils refont le chemin inverse pour tenter de pénétrer l’entrée (on se demande ...
... pourquoi) interdite. Elle geint… ou pleure, je ne sais pas, mais son baiser se fait plus fougueux encore. Sa bouche se décolle de la mienne. J’ai juste le temps de voir un désir à l’état pur habiter les traits tendus de son visage, avant qu’elle me dise :
— Aah… je savais… que tu étais un cochon… Hhh… Rentre tes doigts… dans mon trou du cul !… petit salaud !…
Et ses lèvres retournent aux miennes. Elle me rend le viol qu’elle a subi… au centuple ! Mes doigts, littéralement aspirés, s’enfoncent, presque immédiatement jusqu’aux jointures, dans son rectum. Un grognement sort d’entre ses lèvres. Je sens sa croupe onduler, pousser à la rencontre de mes doigts pour mieux les sentir encore. En même temps, ses lèvres produisent des bruits de succion, en glissant sur les miennes.
— Tu… Ooh… prend-moi par là !… Aah… Je veux que tu sois… le premier !… J’ai tellement de retard à rattraper !
— Tu es sûre que c’est ce que tu veux ?…
— Oui… Oh, fais-le vite, avant que je ne change d’avis…
Et ses doigts à elle attaquent ma ceinture et les boutons de ma braguette, pendant qu’elle lèche mon visage, mes joues, mes lèvres. Moi, je suis rendu muet par ce qu’elle me demande. C’est la première fois qu’une femme me demande de lui faire ça ! Je ne sais pas exactement ce que ça me fait. Je suis partagé entre l’énormité du tabou à franchir, pour elle mais, pour moi aussi. Et par l’abandon et la confiance que cela implique de sa part.
Je la retrouve, presque par magie, agenouillée devant ...