Un peu plus loin dans la débauche !
Datte: 27/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
fdanus,
fsodo,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... ne va pas…
Je m’y attendais : quand vous dites à quelqu’un que vous consolez de se calmer, les pleurs redoublent, les sanglots se font douloureux. Comme une petite pluie qui se change soudain en violent orage. Mais ça ne dure pas.
— Q… Quel gâchis !…
— Chut… Ecoute, tu ne peux pas commencer comme ça… j’y comprends rien !… Calme-toi et raconte-moi…
— Et… la douche ?!…
— Je crois qu’une douche n’est pas ce qu’il te faut… Laisse-moi faire, je vais te faire couler un bain… prendre soin de toi !…
— Tu crois ?…
— Oui… Je peux te lâcher… ça va aller ?…
Je me recule un petit peu. Elle a l’air très lasse, n’ose toujours pas me regarder, mais pas pour la même raison que tout à l’heure. Ce n’est pas grave : de ça aussi, j’ai l’habitude. J’essuie ses joues avec mes paumes, sans frotter, en les caressant. Puis j’attends que son regard monte. Elle va le faire ; c’est toujours comme ça que ça se passe. Elle va se demander pourquoi je reste là, à ne rien faire, ne rien dire, et elle va monter chercher la réponse dans mon regard.
Elle y trouve de la sollicitude, beaucoup de tendresse… et un tout petit sourire… qui l’oblige à y répondre, à cause de la tension nerveuse qui l’a quittée. Je peux, maintenant, l’abandonner le temps que je mette la bonde dans la baignoire, et que je fasse couler l’eau.
— Tu as des sels de bain, du bain-moussant ?
— Oui, là, dans le petit placard.
Elle reste plantée là, à me regarder préparer son bain. Quand je m’approche à nouveau d’elle, ...
... c’est pour la reprendre dans mes bras. Je lui fais une bise légère sur la joue et l’enlace. Je fais doucement descendre la glissière de la fermeture-éclair de sa robe. Elle ne fait rien pour m’en empêcher, juste :
— Mais… tu vas me voir toute nue ?!…
Cette question, qui n’en est pas une, je m’y attendais aussi.
— Ben, tu sais… après ce que j’ai vu de toi, je crois que c’est pas grave !…
Elle éclate de rire. Non pas que ce que je viens de dire soit très drôle, mais parce que sa confiance en moi revient. Ses joues retrouvent un peu de couleurs. Elle se souvient, maintenant, que je l’ai léchée et qu’elle m’a pissé dessus. Et ses joues deviennent un coucher de soleil. Mais elle me regarde. Et me sourit.
Sous sa robe, que j’ai fait glisser lentement, en la caressant, je trouve une guêpière faite de dentelle et de lignes de coutures. Elle s’arrête au-dessus d’un nombril profond et tout mignon. Elle pose ses mains sous celui-ci.
— Non !… Je ne veux pas que tu voies ça !
— Géraldine…
De nouveau, elle ne veut plus me regarder. Je caresse ses joues et lui relève la tête. Je peux lire la peur et le doute, dans son regard.
— Je sais que tu as une cicatrice… Je m’y attendais !… Tu crois vraiment que cela me dérange ?… Ecoute ! C’est de toi dont j’ai envie ! Toi en entier, avec tes kilos en trop !… Tes "grosses fesses" et tes "gros seins", comme tu m’as dit, dans tes lettres ! Et avec ta cicatrice !… D’accord ?!…
— …
— Mon ange… fais-moi confiance, je ne te le ...