1. Un peu plus loin dans la débauche !


    Datte: 27/05/2020, Catégories: fh, fplusag, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fdanus, fsodo, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    Il parait que c’est bien, un petit résumé, alors…
    
    RESUME
    
    Un jeune homme répond à une annonce. Après une longue correspondance, de courrier d’abord, puis d’appels téléphoniques, il donne rendez-vous à une dame de plus de vingt ans son aînée…
    
    Pour plus de détails, je vous invite à lire le n°1 de la série !
    
    Et à lire la suite…
    
    …
    
    — Laisse-moi finir de te déshabiller… J’ai l’impression que je vais donner son bain à un petit garçon…
    — Géraldine… Ecoute, J… J’ai un petit problème avec ça… Ça ne te suffirait pas que je te désire… et que je te le prouve ?!… Je peux être très doux et attentionné… Je veux l’être pour toi… Mais, ça me gêne trop, cette histoire de nourrice et de petit garçon…
    — Oh… Pourquoi ne me l’as-tu pas dit plus tôt… Je suis désolée !…
    — Non, ne t’excuse pas… Tu ne pouvais pas savoir…
    — Ecoute… Tu as raison : je peux m’en passer… D’ailleurs, je n’y pensais plus !… Ça m’est juste revenu, tout-à-coup ! Moi aussi, j’ai… envie de toi !… Comme une folle !… Alors, continue à être comme tu l’as été depuis notre entrée dans le hall…
    
    Des effluves de ses odeurs nous environnent : urine et mouille. Pourtant, cela ne semble pas la déranger. Une question me brûle les lèvres, mais je n’ose pas la poser. Elle me considère du regard quelque part au niveau de mon cou, n’osant pas affronter mon regard. Elle semble… sur la défensive, alors que c’est moi qui devrais me sentir gêné. Je la prends dans mes bras, pour que sa lutte intérieure cesse. Elle ne répond ...
    ... pas à mon étreinte tout de suite. Une sorte de sanglot nous secoue. Il vient d’elle. Sa détresse subite me désarçonne complètement. Je ne sais pas d’où elle vient. Tout-à-coup, je sens ses bras autour de mon corps. Elle se met à pleurer, en me serrant très fort.
    
    Encore une fois, je tenais quelqu’un dans mes bras. Cette personne pleurait et je faisais tout mon possible pour la consoler. Je ne comptais plus le nombre de fois où cela s’était produit. Qu’est-ce qu’il y avait chez moi, qui faisait que les gens se sentaient écoutés au point de se lâcher comme ça ?!… La plupart de mes amis, hommes et femmes, s’y était retrouvée. Dire que la rumeur prétend que les hommes ne savent pas écouter !… Quand quelqu’un passe chez vous, et que la conversation, vous ne savez comment, dévie sur ses problèmes personnels, que voulez-vous faire ?… Ben moi, j’écoute… de tout mon être. Je m’implique, réfléchis, console, propose des solutions, me montre sans pitié quand c’est nécessaire !… Et pendant ce temps-là, je dois retenir mes propres larmes… me montrer FORT ! C’est ce dont ils ont besoin !… et ça me fait mal. J’en souffre mais je ne peux rien faire d’autre. Peut-être est-ce dû à mon empathie ?!
    
    Elle ne le sait peut-être pas, mais en pleurant dans mes bras, comme elle le fait, elle est en train de faire de moi son ami. Et on ne fait rien de sexuel, avec un ami ! Peu importe. Si c’est ce dont elle a besoin, je serai son ami !
    
    — Géraldine… Chut… Mon ange… calme toi… allons, dis-moi ce qui ...
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