1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Première fois Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster

    ... jean. Evidemment, elle se laissa faire et se cambra pour me laisser passer ses mains sous ses fesses et lui baisser le pantalon. Marc n’avait pas encore décroché que le jean et la culotte jaune pâle étaient arrivés au bas du lit aussitôt rejoints par les deux chaussettes de laine.
    
    « – Allo, mon amour…. » Elle parlait à son mari tout en me regardant avec un sourire diabolique. Elle était allongée sur le lit, le haut du corps habillé de son gros pull de laine super doux et les jambes nues repliées et légèrement écartées. Elle avait posé sa main libre sur son sexe comme pour m’empêcher de le voir ou d’y accéder.
    
    On n’y croyait pas un instant !
    
    Avant de m’y attaquer, je m’approchai de son visage et, pendant qu’elle ne parlait pas, l’embrassai en sentant mon goût encore présent sur ses lèvres.
    
    Je m’installai ensuite entre ses jambes et remontai son pull pour poser mes lèvres sur son ventre chaud puis, après avoir écarté sa petite main qui bien-sûr n’opposa aucune résistance, j’entrepris de descendre plus bas afin de brouter avec bonheur son gazon doré et soyeux tout en respirant à fond son odeur intime. Descendant toujours, j’écartai ses cuisses et pu observer, sans encore la toucher, sa vulve rose palpitante et déjà bien humide. Soufflant dessus comme sur un plat trop chaud, je lui envoyai un peu d’air frais qui la fit sursauter et connaître sa première « coupure de réseau ».
    
    Afin de la laisser dans l’excitation d’une attente insupportable, je me détournai pour ...
    ... aller poser doucement mes lèvres sur la partie si tendre de l’intérieur de sa cuisse droite. Je descendais le long de sa cuisse puis remontai, traversai la zone du petit minou sans le toucher puis redescendais embrasser et lécher l’intérieur de la cuisse gauche.
    
    Je fis ce double trajet à plusieurs reprises et, à chaque fois que mon souffle effleurait ses pétales de rose, elle tressaillait d’excitation. Au cinquième passage, sans prévenir, je me suis arrêté pour sucer avidement son petit clito. Ce fut à son tour de pousser un « Aaaaah » instinctif.
    
    « – …. »
    
    « – Non, c’est rien, j’ai super mal au dos depuis l’autre jour et je me suis mal installée sur le lit. » (Copieuse !)
    
    Ma langue lâcha ensuite son bouton nerveux pour aller plonger dans son puits délicieux. Je goûtais avec délectation son essence plus liquide que la dernière fois où, à son insu, j’y avais mis le nez.
    
    Alternativement, d’une grosse langue râpeuse, je léchais de bas en haut et de haut en bas sa fleur à vif puis d’une petite langue fouineuse, je plongeais le plus profond possible dans son intimité. Mes mains ne restaient pas inactives, elles profitaient de la situation pour caresser ses cuisses et pétrir ses jolies fesses.
    
    Caroline eut de plus en plus de difficultés pour discuter avec son mari, elle répondait de plus en plus souvent par onomatopées genre « hmm », « hmm », se mordait les lèvres et essayait avec ses doigts de masquer le haut-parleur du téléphone quand elle ne pouvait plus contenir ...
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