Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... ses gémissements. De sa main libre, elle appuyait sur ma tête pour m’encourager à continuer. Je n’avais pas besoin d’encouragements.
Ma langue courrait sur sa vulve, débordait sur l’extérieur des grandes lèvres pour s’égarer sur le début des cuisses et revenir de plus belle brouter son mont de Vénus.
Pour amplifier ses sensations, je fit pénétrer deux doigts dans son antre parfaitement lubrifié et en fouillai les limbes pour titiller de l’intérieur son clitoris que ma bouche suçait à l’extérieur, puis j’entamai un lent mouvement de va-et-vient.
Elle se cambra, bloqua sa respiration pour ne pas gémir et ne dit plus un mot au téléphone. A l’autre bout du fil, Marc avait-il remarqué qu’il n’avait plus de réponses, même laconiques ?
Ma bouche ne quittait plus son clito, un troisième doigt avait rejoint les deux premiers et leur pénétration se faisait de plus en plus intense. Ma main libre s’était glissée sous le pull et sous le soutien-gorge et massait un petit sein tendu de désir.
Voyant qu’elle ne pourrait sans doute plus retenir ses cris plus longtemps, Caro miaula un « -Chériii, j’ai un double appel, faut qu’j’te laisse, à demain bisouuu ! ! » et balança le mobile de l’autre coté de la chambre. Elle m’attrapa aussitôt la tête à deux mains et me plaqua le visage contre son bas ventre puis cria « Oh oui ! ! C’est ça ! C’est bon ! » Elle haleta, soupira et gémit crescendo pendant deux ou trois minutes avant de changer d’avis :
« – Non arrêtes ! C’est trop ...
... fort ! Aaaaahhh ! » et elle essaya de repousser ma tête d’entre ses jambes.
Seulement, j’avais ferré ma proie et n’entendais pas la lâcher comme ça. Je tentais donc de prolonger le supplice de plaisir le plus longtemps possible. Elle se laissa faire quelques instants avant de se dégager d’un violent coup de rein en arrière et, dans un cri, elle se replia sur le coté, les mains entre ses jambes, le corps secoué de tremblements convulsifs.
« – T’es un fou furieux », haleta-t-elle.
En souriant, j’essuyais d’un revers de main, la cyprine dégoulinant sur mon menton.
On pourrait croire qu’avec un tel régime, nous n’avions ni le besoin ni l’envie d’aller dîner.
Et bien je peux vous dire que les histoires de vivre d’amour et d’eau fraîche c’est rien que des c…
L’amour ça donne faim.
Donc, après une heure de câlins où, allongés l’un à côté de l’autre, nous nous sommes longuement flattés l’épiderme, nous avons cédé au rituel d’une douche rapide et nous sommes préparés pour sortir.
Une fois de plus, Caroline m’époustoufla en se parant d’une tenue que je n’avais encore pas vue.
A croire qu’elle savait depuis le début que nous resterions plus longtemps que prévu. Ah ! mais j’oubliais : c’est une femme : une femme prévoit toujours deux fois plus de bagages qu’il n’en faut !
Cela dit, elle était vraiment sublime dans cette robe ivoire au décolleté affolant.
Comme moi je n’avais pas été prévoyant, j’essayais d’éviter de ressembler à un clochard à ses côtés ; au ...