Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... s’activer, ses mains agiles lâchaient mon service trois pièces pour aller remonter mon pull sur mon torse et caresser mon ventre et sa pilosité courant en ligne droite du pubis au nombril.
La sensation de ses cheveux caressant et chatouillant mon bas ventre décuplait le plaisir.
C’est alors que l’intuition féminine de ma femme se réveilla, sans transition et tout à fait hors propos, elle me parla de Caroline :
« – Et ta jeune collègue, qu’est-ce qu’elle en dit de tout ça ? »
« – Caroline ? Euh, elle est furax, elle voulait retrouver son mari au plus vite, tu sais comment sont les jeunes couples. »
Je me disais qu’en introduisant le thème du mari dés le début ça calmerait sa jalousie excessive d’entrée (Et oui, la bite est occupée mais le cerveau fonctionne encore !) Ce fut peine perdue.
« – Elle est sympa ? »
« – Oui. »
« – Jolie ? »
« – Oui »
« – Bien foutue ? »
« – Euh …Oui » Toutes ces questions, elle me les avait déjà posées avant ; pas la suivante :
« – Tu te l’es faite ? »
« – Ca va pas ! C’est une chieuse de première, pas du tout mon genre ! »
Entendant cela, Caroline se mis en devoir de me punir en sortant légèrement les dents.
Je la taquinai un peu :
« – En plus, elle a l’air complètement coincée, son mari ne doit pas s’amuser tous les jours ! »
Les petites dents se firent plus présentes, je poussai un cri muet et abandonnai les hostilités :
« – Tu sais bien que je t’aime »
Il s’ensuivit un échange de mots doux ...
... avec Dorothée et chaque fois que je lui disais « je t’aime », Caroline accentuait la succion sur mon gland : La perversion faite femme.
Je me cambrais pendant que Caro accélérait encore les secousses de sa main et les aspirations de sa bouche.
Fort heureusement, à l’autre bout du fil, Dorothée était partie dans un monologue qui ne semblait pas demander de réponse.
Avec un tel traitement, je sentais que je n’allais pas tenir longtemps et de fait, je sentis la sève monter en moi.
A l’instant fatidique ou j’explosais en silence, elle se recula et me laissa m’épancher sur mon ventre en continuant quelques derniers va-et-vient du poignet. (Apparemment, elle n’avalait pas ou réservait ce privilège à son époux.)
C’était la fellation la plus bizarre et la plus intense de ma vie.
J’eus toutes les peines du monde à me remettre de mes émotions et à terminer la conversation avec ma femme sans que celle-ci ne se doute de quelque chose ; je ne suis pas sûr d’y être arrivé.
A peine raccroché, je laissai tomber mes bras en croix et soufflai : « Petite salope ! »
« – J’ai l’impression que t’aimes les petites salopes, gros cochon ! » Répondit-elle en s’allongeant à coté de moi.
Et me prenant le téléphone des mains : « Allez, à mon tour ! »
Il était évident qu’elle demandait une revanche ; j’étais tout à fait prêt à la lui accorder. J’allais lui faire payer son culot.
Elle composait à peine le numéro que je m’attaquais déjà a sa ceinture puis aux boutons de son ...