Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... plus appuyé. Elle sursauta légèrement et ce fut là sa seule réaction.
Pour aller plus loin, je dus délicatement lui écarter les jambes (mes mains répondaient enfin à mes commandes cérébrales embrumées) et offrir à mes yeux l’ouverture timide de sa fragile rose encore bien humide. Je passai ma langue sur ses petites lèvres puis la plongeai dans son puits d’amour. Je récoltai un peu de liqueur assez épaisse, odorante et sucrée.
Je repris ma séance de baisers sur ses grandes lèvres (impeccablement rasées, elles) d’une douceur indescriptible, descendis lentement sur les cuisses internes, elles aussi hyper douces, le reste des cuisses, ses genoux, la pliure des genoux, tendre aussi et en général super chatouilleux.
Arrivé sur ses pieds, pas un centimètre carré de sa peau, coté face, n’avait échappé à mes lèvres.
J’eus envie de faire de même de l’autre coté, je la retournai doucement et repris à partir de la nuque, tout le dos puis les reins et surtout le toujours magnifique et ferme petit cul. Ecartant les fesses de mes mains, je tendis à nouveau ma langue pour explorer le sillon délicat de sa petite raie et essayai de sonder son petit trou brun-rose. Celui-ci était trop bien fermé et je ne pus l’ouvrir.
A la fin le coté pile avait reçu le même traitement que le coté face.
Il est inutile de préciser l’état dans lequel tout cela m’avait mis. Popaul ne demandait qu’à sauter hors du caleçon qui le retenait. Je décidai de l’écouter (en général, quand un homme ...
... écoute sa bite, c’est mal barré pour lui !) et de le laisser, lui aussi, jouer à la poupée.
Je retirai donc mon boxer et frottai mon membre énervé contre les demi sphères parfaites du petit fessier. Cela lui plu beaucoup, et il durcit encore, si c’était possible.
J’ai ensuite eu envie de lui faire visiter les collines de nacre, la forêt d’or et la grotte aux mille parfums (oui, on peut dire que mon degré d’alcoolémie avait atteint son paroxysme).Je remis donc ma partenaire sur le dos et passai doucement mon sexe sur la peau suave de ses seins (ils n’étaient pas assez volumineux pour pouvoir faire une cravate notariale digne de ce nom mais c’était déjà sympa) puis sur son petit ventre tendre.
M’installant ensuite entre les jambes écartées de Caroline qui ne bougeait toujours pas, je caressai avec délectation ses poils pubiens avec mon gland puis présentai celui-ci devant l’entrée du coffre fort qui, ce soir, faisait portes ouvertes.
J’allais commencer à enfoncer les premières barrières et pénétrer dans le « saint des saints » quand, soudain, ma conscience me rattrapa encore in extremis (elle avait dû emprunter des chemins jusqu’alors inconnus pour éviter les impasses provoquées par un nombre important de neurones grillés ce soir là). Elle me présenta tout d’un coup à l’esprit la vision que j’avais eu plus tôt au club et qui m’avait fait réagir. Je réalisai que j’étais en train de faire exactement ce que je ne voulais pas que les autres lui fasse subir. Je pris surtout ...