Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... conscience que cette fois, ce n’était pas la baffe que je risquais mais la taule car malgré son invite embrumée, on ne pouvait pas dire que ma partenaire était réellement consentante.
Je fus donc, comme la veille, coupé dans mon élan ; seulement là, j’avais à la main un gourdin qui ne se calmerait pas comme ça, tout seul. Je me redressai donc à genoux entre ses jambes et commençai de la main droite le mouvement de va-et-vient bien connu sur la tige de mon engin tendu à l’extrême.
Il ne fallut pas attendre longtemps pour en voir jaillir un jet d’une rare v******e. On peut dire que je lui en ai mis partout : un peu dans les cheveux, un peu sur le visage (le front et la joue), une giclée sur le cou, une autre sur la poitrine sur le bord d’un sein, pas mal sur le ventre, dans le nombril et le reste dans sa toison et sur ses cuisses.
Un peu penaud, je me dégageai et regardai « l’œuvre d’art » réalisée par mon esprit dérangé.
Je pris ensuite un mouchoir et entrepris d’essuyer un maximum de liquide séminal sur son petit corps souillé.
J’eus enfin la présence d’esprit de lui renfiler sa culotte noire avant de m’écrouler à ses cotés.
Jour 5 – Jeudi.
Pour une fois, je ne me réveillais pas le premier.
Je ne peux pas en témoigner, mais je suis prêt à parier qu’étant donnée la gueule de bois qu’elle devait se payer, les premiers mots de Caroline furent, ce matin là : « Oh merde. »
Je me suis réveillé au son de la douche qui coulait dans la pièce ...
... contiguë.
Elle en sortit quelques minutes plus tard et me voyant éveillé :
« – Salut beau mec ! »
Soit elle avait l’habitude des grosses fêtes, soit elle se remettait vite mais en tout cas, elle paraissait fraîche et dispose.
Elle s’assit à mes cotés :
« – Je ne me souviens plus du tout de ce qui s’est passé hier soir mais j’ai l’impression que je te dois la vie sauve. »
« – La vie peut-être pas mais l’honneur sans doute » dis-je dans un demi-sourire.
A sa demande, je lui racontais nos péripéties de la veille en édulcorant un peu les passages les plus gênants et en passant totalement sous silence ce qui s’était passé à notre retour dans la chambre, elle devait penser que je m’étais contenté de lui retirer sa robe.
« – Ces mecs sont des gros porcs » dit-elle à la fin.
« – Tu sais, dans un groupe d’hommes bourrés, les QI ne s’ajoutent pas, ce serait même plutôt le contraire. Pris séparément et à jeun ces gars ont plutôt l’air sympa, en groupe et imbibés, hier soir, c’était des prédateurs. »
« – Et toi, mon Prince Charmant. En tous cas, merci. » Et elle me colla un petit bécot sur les lèvres.
Bien qu’agréable, ce chaste bisou n’appelait pas de commentaires.
Pour toute réponse, je lui lançai une de mes devises favorites (qui n’est pas de Gilbert, celle-là) :
« – A friend in need is a friend indeed ! »
« – Ouah, poète et polyglotte ! Quels talents cachés as-tu encore sous le coude ? »
« – Ah ça, il ne tient qu’à toi de le découvrir ma belle » fis-je ...