1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Première fois Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster

    ... insensible à mes efforts, la belle s’était endormie d’un sommeil de plomb.
    
    Enlever sa petite robe noire fut plus facile et beaucoup plus agréable. Je passai mes mains derrière sa nuque gracile, dénouai le nœud et rabattis les deux pans de tissu fin, mettant à nu ses petits seins nacrés encore perlés de sueur. Ils étaient un peu rosis par le traitement que leur avaient fait subir plus tôt les brutes en rut.
    
    Je tirai ensuite la robe vers le bas pour la faire glisser sur ses hanches. Ce faisant je m’aperçus que la culotte était partiellement venue avec (Au vu de ce qu’il avait dû endurer ce soir, son élastique devait être moribond).
    
    Une fois la robe enlevée, il ne lui restait plus que ce petit bout de tissu noir. Derrière, il était descendu jusqu’à la commissure des fesses, devant il s’arrêtait au milieu de son mont de Vénus, dévoilant une petite moitié de son pubis doré.
    
    A ce moment là, j’aurais dû lui remonter sa culotte et nous coucher, j’aurais dû.
    
    J’aurais dû rester sage cependant, la soirée m’avait passablement excité et en regardant pour la deuxième fois en 24 heures le corps magnifiquement offert d’une Caroline endormie sur mon lit, je perdis toute notion de bienséance : je glissai mes mains sous ses fesses et tirai d’un coup sa petite culotte jusqu’à ses chevilles puis lui ôtai complètement. Je me redressai et pus enfin contempler ma jeune et splendide collègue entièrement nue.
    
    J’étais hypnotisé par sa beauté, il se dégageait d’elle une impression de ...
    ... calme et d’abandon absolu ; je pouvais faire d’elle ce que je voulais mais je restais pantois, les bras ballants, les mains comme déconnectées du cerveau.
    
    Mes membres supérieurs paralysés, ce fut donc ma bouche qui prit l’initiative. Je me penchai lentement et posai extrêmement délicatement mes lèvres sur les siennes. Je savais bien que ça ne pourrait pas la réveiller mais je ne voulais pas rompre le charme.
    
    J’insérais ma langue entre ses petites dents blanches entrouvertes et essayait de lui titiller la langue mais évidemment, elle ne me rendit pas mon baiser.
    
    Après un long moment, je quittait à regrets ses lèvres pour poser les miennes sur ses paupières closes puis je continuait sur tout son visage : son front, ses tempes, son nez, ses joues, son menton, son cou…
    
    Encouragé par la sensation que cela me procurait, je poursuivais sur son buste, m’arrêtant avec insistance sur le pourtour de ses seins et les petits tétons que j’arrivais à faire se dresser par réaction épidermique, malgré le sommeil. Je continuais ensuite sur son ventre tout doux.
    
    Sa peau était maintenant sèche mais gardait le goût finement salé de la sueur qui avait ruisselé sur tout son corps pendant la séance de danse et après celle-ci.
    
    Mes lèvres arrivèrent à la limite de sa toison d’or. Peu abondante, elle n’était quasiment pas rasée (juste maîtrisée sur les bords). Je posais de chastes baisers sur des poils soyeux jusqu’à atteindre son petit bouton de plaisir sur lequel j’appliquai un smack ...
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