1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Première fois Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster

    ... dans le cercle ainsi formé.
    
    La signification muette était claire : « celle-là, on va tous se l’enfiler ce soir ! »
    
    Ses copains lui renvoyèrent des clins d’œil de connivence.
    
    Ces derniers échanges provoquèrent en moi un vision soudaine : je voyais Caroline étendue, inconsciente, entièrement nue sur le lit d’une chambre d’hôtel anonyme, un des mecs également nu étendu sur elle.
    
    Cette vision fit aussitôt place à une seconde plus terrible : je voyais toujours Caroline étendue, inconsciente, entièrement nue sur le lit d’une chambre d’hôtel anonyme, mais cette fois, il y avait le masseur en train de faire son odieux va-et-vient entre ses jambes écartées pendant que son acolyte menait sa petite affaire dans sa bouche ouverte et les trois autres qui regardaient en attendant leur tour.
    
    Cette dernière vision me fit bondir sur mes pieds, je m’avançai et criai à Caroline : « Allez, c’est bon, on s’en va maintenant ! »
    
    Les gars me regardèrent avec hargne et ironie.
    
    « – Eh Oh ! T’es pas son mec ! »
    
    « – Ben alors, ça va pas ? T’inquiètes pas, y en aura pour tout le monde ! »
    
    « – Tu comprends pas qu’il veux pas partager, il la veux pour lui tout seul le salaud ! »
    
    Voyant que cela n’allait pas être facile de nous en aller comme ça, je sortis mon argument massue, le plus gros bluff de ma vie :
    
    « – Gros cons ! Je suis son père ! »
    
    Et profitant du moment libéré par leur stupéfaction, j’empoignai Caroline qui heureusement se laissa faire, je lui rabaissai sa ...
    ... robe, lui rajustai son bustier et nous pressai vers la sortie sans me retourner. Je pris les manteaux au vestiaire et essayait de vêtir rapidement ma collègue. Nous sortîmes dans la nuit glaciale sans être rattrapés. La révélation avait dû les dégriser.
    
    Caroline, elle, était loin d’être désalcoolisée, elle titubait et je devais porter la quasi-totalité de son poids alors que moi-même j’avais ingurgité largement ma part. A nous deux, on aurait fait exploser un alcotest polonais. Cahin-caha, nous avons traversé la ville endormie en tenant des propos d’ivrognes de moins en moins intelligibles.
    
    Jour 4 – Mercredi – Dans la nuit.
    
    Arrivés péniblement jusqu’à notre chambre, je l’ai faite s’asseoir sur le lit. En tanguant, elle me dit :
    
    « – Aideees-moooi à meee déshaaabiller » puis s’effondra en arrière, en travers du lit.
    
    Ses derniers mots compréhensibles furent : « Chériiiiii, fais-moi l’amouuuur ! »
    
    J’étais suffisamment excité par tout ce que j’avais vu au club pour avoir envie de lui obéir, cependant, je savais que cela ne m’était pas adressé personnellement. Je fis donc le sourd.
    
    Je me déshabillai pour la nuit, ne gardant comme toujours que mon caleçon.
    
    Ceci fait, ne pouvant la laisser comme ça, je lui ôtai ses chaussures puis m’attaquai à son manteau. Son déshabillage était difficile car elle était devenue une poupée de chiffon ne faisant rien pour m’aider. Comme de mon coté, l’alcool rendait mes gestes imprécis ce fut une galère.
    
    Pendant ce temps, ...
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