1. L'inconnue du Paris-Vintimille


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... jeune femme et la jette contre moi. Elle en renverse le contenu de son gobelet sur ma poitrine et en particulier ma chemise, la trempant complètement. Passé l'effet de surprise, je suis le premier à en rire, lui assurant que ce n'est pas grave, vu la chaleur qu'il fait!... J'entre dans mon compartiment où je sais trouver des vêtements de rechange. J'ouvre ma valise, y prend une nouvelle chemise, sèche celle-ci, et c'est au moment où je suis le torse nu que j'entends la porte du compartiment s'ouvrir derrière moi. Je me retourne et je la vois se découpant en silhouette dans l'encadrement de la porte, belle et sensuelle, souriante aussi :
    
    - " Je vous dois de plates excuses, me dit-elle. Je suis vraiment désolée. Un enfant qui aurait fait cela, aurait mérité une bonne fessée, n'est-ce pas?... "
    
    J'ajoutais en riant lui tournant toujours le dos pour ne pas montrer la bosse de mon pantalon, d'autant plus visible que j'étais torse nu :
    
    - " Chiche! Vous fesser serait pour moi un gage bien agréable, vous êtes si belle et si espiègle aussi, que je... "
    
    - " Vous le feriez? Là maintenant?, rétorqua-t-elle avec un air mutin et presque offusqué. Vous me rougiriez les fesses? Comme à une gamine?... Vous ne manquez pas d'air! "
    
    Je voyais en même temps ses jolis yeux briller à l'idée de cette scène et son sourire un tantinet coquin. Et surtout je voyais, là devant moi, à travers le tissu léger de la robe d'été, les pointes de ses seins qui faisaient très nettement sailli. ...
    ... J'en fus tout à coup profondément troublé. Je l'empoignais vivement par un bras et m'asseyant prestement sur la banquette, je la courbe et la bascule en travers de mes genoux, lui emprisonnant les poignets de ma main gauche. En riant elle gesticule et s'agite, battant des jambes, ce qui relève largement sa robe. Je levais la main pour faire mine de la fesser, quand un mouvement plus ample de sa part fait remonter un peu plus la robe. Une culotte blanche en tissu luisant sans doute de soie, s'offre à mes regards. Fasciné par le spectacle de son cul que j'imagine sous le morceau d'étoffe, je reste sans voix, la main levée, interdit... Malgré moi, ma main droite descend lentement et sans que je puisse faire quoi que ce soit pour l'empêcher, elle effleure les globes pleins et superbes de sa poitrine...
    
    - " Eh bien alors mon cher, vous vous dégonflez?!... " La voix est ironique, presque amusée. Je ne vois pas son visage, juste son cou délicieux, et surtout les globes jumeaux de ses fesses magnifiques. Je ne vois plus qu'eux, subjugué. Je sens sur mes genoux le moelleux de ses seins, et cela, rajouté à la situation présente, ne contribue pas à me calmer...
    
    Sans rien dire, doucement, d'un mouvement lent presque caressant j'abaisse la culotte sur ses cuisses, dévoilant un cul somptueux, et par dessous, une faille superbe qui me laisse comme paralysé... Jusqu'à ce qu'une voix ironique me secoue :
    
    - " Vous n'allez pas me fesser cul nu, quand même?... "
    
    Fasciné par le cul ...
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