1. L'inconnue du Paris-Vintimille


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... l'on devinait parfaite, ferme et bien formée. Mon regard s'y porta instantanément et je fus comblé de voir la naissance de ses seins, avec une peau superbe, lisse et tendue. Quel bonheur ce fut de voir ses 2 jolis globes, rouler et vibrer sous les secousses du train... Elle vit sans doute mon regard car ses yeux devinrent rieurs et son sourire se fit coquin lorsqu'elle me dit :
    
    - " Dites donc, vous, ce n'est pas parce que vous avez de beaux yeux que vous avez l'autorisation de les promener ainsi partout!! "
    
    Nous éclatâmes de rire. A la façon dont elle tournait le propos, je compris qu'elle était plus amusée que choquée par mon manège. Comme pour me justifier, j'ajoutais qu'il n'y avait pas grand-chose d'autre d'intéressant à voir et à faire ici. Elle me dit partager cet avis et ajouta qu'elle aussi s'ennuyait ferme. Au fil de la conversation j'appris qu'elle s'appelait Yolande, qu'elle était mariée. Interprète pour l'Administration italienne, elle allait rejoindre son mari pour les 5 semaines de congés, ce qui j'en eu tout de suite la quasi certitude ne l'enchantait pas plus que cela ; elle me confiait qu'ils s'entendaient mieux quand ils vivaient tous les deux assez loin l'un de l'autre... Je l'invitais à prendre un verre au bar, lui disant :
    
    - " Nous avons bien le temps d'ici Paris de trouver le temps long. Aussi vaut-il mieux sans doute, s'ennuyer ensemble plutôt que chacun de son côté... " Elle en convint, et elle était sur le point d'accepter quand la horde de ...
    ... mes quatre voisins de compartiment, sortit avec bruit pour se rendre au bar justement. Elle préféra donc le calme relatif des places du compartiment à la cohue qu'il allait y avoir au bar. Je lui proposais d'aller chercher deux boissons... Je fus obligé de passer derrière elle dans le couloir étroit, mais au lieu de s'effacer contre la vitre comme elle l'avait déjà fait à plusieurs reprises pour laisser passer des voyageurs, elle ne fit pas mine de bouger, et en passant derrière elle, je frôlais doucement ses fesses de mon bas ventre. Je m'y attardais un instant, juste à peine, l'effleurant, lui faisant sentir ma raideur entre ses fesses à travers la robe légère...
    
    Je file donc acheter les boissons tout gaillard à l'idée que le voyage qui s'annonçait maussade allait peut-être devenir intéressant. Je bande déjà comme un salaud, au point que ma queue me fait mal en marchant tant elle est tendue. Je dois la remettre en place à plusieurs reprises dans mon slip et mon pantalon... C'est un supplice. Je sens toujours la chaleur de ses fesses pourtant à peine effleurées et j'ai devant les yeux la naissance de ses jolis seins, ce qui n'arrange pas mon érection!
    
    Je reviens vers elle avec les deux rafraîchissements. Elle était restée debout dans le couloir. Je vide l'une des bouteilles dans un gobelet que je lui tends, tandis que je me sers l'autre gobelet. A l'instant où je porte mon gobelet à mes lèvres, une brusque secousse du train provoquée par un cahot brutal, déséquilibre la ...
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