1. L'inconnue du Paris-Vintimille


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    C'était l'année de mes 35 ans. Je rentrais d'Italie en plein mois de juillet par le Vintimille - Paris. Nous roulions déjà depuis plus d'une heure dans la chaleur de ce début d'été. C'était il y a bien longtemps, avant les T.G.V. et même les trains "Corail" ; avec des wagons disons traditionnels, à l'ancienne. Dans ces wagons à compartiments séparés, ces derniers avaient chacun 8 places 4 par 4, se faisant vis-à-vis, comme on en voit dans les films des années cinquante. Cette conception rendait encore plus forte la promiscuité et l'atmosphère du lieu plus étouffante...
    
    A côté de moi, et se faisant face sur les places du couloir, 4 jeunes sous officiers de la Légion Etrangère, d'environ 28 - 30 ans. L'un paraissait plus âgé, dans les 35 ans peut-être, comme moi. Leur conversation m'intéressait peu : leur dernier poste sur une petite île où ils étaient restés trois mois sans voir personne, assorti de leurs souvenirs de séjour.
    
    Ils m'avaient bien offert une bière dont il semblait qu'ils en aient eu à profusion dans leur sac de paquetage, et avaient tenté de lier conversation, mais c'était un peu artificiel et je n'arrivais pas à entrer dans leurs échanges de souvenir... Bref, je m'ennuyais ferme depuis le départ, au point qu'en gare de Nice, je sortis dans le couloir.
    
    Là, je vis une très jolie femme, assez jeune me semblait-il, qui avait descendu la vitre du couloir par laquelle elle se penchait. Elle devait être en train de prendre une bouffée d'air pur. Sa robe ...
    ... d'été, légère et assez fine, moulait parfaitement sa descente de reins et elle avait des fesses superbes. Me penchant à mon tour par la vitre baissée, j'engageais la conversation par une banalité :
    
    - " Vous avez bien fait d'ouvrir, on étouffe ici! ". Se tournant vers moi, toujours penchée à l'extérieur, elle me répondit avec un grand sourire :
    
    - " Oui, hein!... Mais vous savez dehors, l'air est aussi brûlant... Enfin, cela donne l'impression de respirer! ".
    
    Le train repartit lentement. Elle resta penchée par la vitre baissée encore quelques instants pour être arrosée par l'air en turbulence autour du train qui se mettait en marche. Sa robe battait de la plus jolie façon sur ses fesses. L'air chaud s'engouffrant dans le décolleté devait lui caresser la poitrine et sans doute aussi le ventre et les cuisses, car j'avais l'impression de le voir ressortir sous la robe qu'il soulevait et agitait... Puis elle se retira enfin vers l'intérieur, remonta la vitre et me fit face.
    
    Elle était superbe, charmante, sûre d'elle et de son charme. Elle devait avoir aux alentours de la fin de la trentaine. Elle offrait un joli visage, aux traits réguliers et doux, agréables et fins, les cheveux assez courts, châtain foncé avec une légère teinte rousse. Elle avait de beaux yeux noisettes et un nez assez pointu et allongé, comme l'on souvent les femmes sensuelles et même parfois aussi, je l'ai souvent remarqué, vicieuses...
    
    Sa robe montrait un large et joli décolleté sur une poitrine que ...
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