1. Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (1)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory

    ... placé au-dessus de moi.
    
    Je savais ce qu’était le sperme grâce à un cours de biologie, mais le voir gicler sur moi et respirer son odeur semblable à nulle autre fut une expérience miraculeuse. Pourtant, je me sentis souillée. La première chose que j’effectuai fut de quitter mon lit pour chercher un mouchoir et m’essuyer.
    
    Après cela, j’eus l’impression que le charme était rompu. Le pénis de Bruno dépassait toujours de son pantalon, mais était en cours de rétractation. Il le remit dans son slip.
    
    — Tu peux te déshabiller ? demanda-t-il pourtant.
    
    — Non. Une autre fois.
    
    — Quand ? Je veux te voir toute nue.
    
    — Ce soir, c’est trop tard. Il faut que tu rentres chez toi.
    
    Je m’empressai de remettre mon tee-shirt. La sentence était tombée et Bruno m’obéit, tout de même heureux d’avoir partagé un moment très intime avec moi, et de pouvoir désormais me considérer comme sa fiancée.
    
    Mon irruption dans l’antre de la masculinité me laissa toute chamboulée. Bien que j’eusse fait une toilette complète avant de me coucher, j’avais l’impression de toujours sentir le sperme de Bruno sur ma main, et je me revoyais le masturber encore et encore.
    
    Ainsi débuta ma vie sexuelle, de manière fort timide. Si j’ai raconté cet événement, c’est seulement pour montrer le contraste avec ce qui se passa durant l’été, et pour expliquer que j’arrivais à fréquenter Bruno comme une amoureuse sans perdre ma virginité.
    
    Il y eut beaucoup d’autres baisers et quelques autres éjaculations, et ...
    ... je manquai de peu de lui « sucer la bite ». Bruno arriva une fois à poser la main sous ma jupe, sans pouvoir l’introduire dans mon intimité. L’approche des examens nous obligea à écourter drastiquement nos moments de tendresse, et à la fin, même les séances de révision communes durent être raréfiées. J’expliquai à mon copain que j’arrivais mieux à me concentrer quand j’étais seule, ce qui était la stricte vérité.
    
    Nous eûmes pourtant deux balades en amoureux dans les magasins du centre-ville, où Bruno s’ennuya ferme et dut étouffer ses bâillements. La seconde eut lieu par un chaud samedi de juin, où j’avais exaucé son vœu en mettant une jupe au ras de fesses, et en me chaussant d’une petite paire de sandales. Son regard était scotché sur mes cuisses alors je priais qu’un coup de vent ne soulevât pas le mouchoir de poche qui me tenait lieu de jupe. Il avait le souhait exactement contraire, mais finalement, rien ne se produisit.
    
    Les gens que nous croisions ne pouvaient que nous prendre pour des amoureux, et pourtant, j’étais de moins en moins sûre de mes sentiments. Quand je lui avais fait ma première déclaration, je n’avais pas été totalement sincère. Il y avait des causes objectives à cela. Bruno rêvait de m’entraîner dans un MacDonald alors que cette nourriture me rendait malade. Nos goûts musicaux ne correspondaient pas non plus. Il avait un tempérament bien plus agité et impulsif que le mien. Pour faire tenir notre couple bon gré mal gré, nous mettions nos différences ...