1. Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (1)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory

    ... mains s’étaient unies. Par nos doigts entremêlés, un flot de sensations passaient entre nos corps. Nos regards étaient également fondus l’un dans l’autre. Incapables de parler, nous ne pûmes qu’entamer un deuxième baiser, plus profond que le premier. La main droite de Bruno se posa sur mon épaule pour m’attirer à lui, puis elle glissa sur mon bras nu.
    
    — Mélanie... fit-il en s’écartant de moi.
    
    — Oui ?
    
    — Je... Ça fait depuis longtemps que j’aime... J’ai envie de toi.
    
    — Moi aussi, je t’aime.
    
    Il se leva en continuant à me tenir la main. Nous nous dirigeâmes vers mon lit, où nous nous assîmes l’un contre l’autre. Nous continuâmes à nous contempler un moment, puis à nous embrasser, et je me retrouvai allongée avec Bruno pesant sur moi. Ses mains enfiévrées se glissèrent sous mon tee-shirt pour caresser la peau de mon ventre.
    
    — Attends ! fis-je.
    
    — Pourquoi ? Tu n’as pas envie de...
    
    — Si, mais pas maintenant.
    
    — On se connaît depuis plusieurs mois.
    
    — Oui, mais... il ne faut pas aller trop vite.
    
    — Je veux juste te regarder... Tu es très belle, tu sais.
    
    Il continua à me caresser, puis il remonta mon tee-shirt au-dessus de mon soutien-gorge. J’ignorais pourquoi je lui résistai, puisque j’étais aussi enflammée qui lui. Mon bas-ventre était en fusion et ma culotte devait être dans un triste état. Mais aller plus loin dans ma petite chambre, à quelques pas de mes parents qui nous imaginaient encore en train de travailler, cela me semblait ...
    ... impossible.
    
    — Je t’ai vue trop rarement en petite jupe, poursuivit Bruno. Tes jambes sont superbes. Je n’ai jamais arrêté de penser à elles.
    
    Là, il ne pouvait pas les voir, car je portais un jean.
    
    — J’en mettrai pour toi, répondis-je. Ça va être la saison.
    
    — Est-ce que je peux voir tes seins ?
    
    Ne pouvant lui refuser cela, je me redressai, fis passer mon top au-dessus de ma tête et dégrafai mon soutien-gorge. Il regarda mes ornements comme les plus belles des merveilles, puis entreprit de me caresser. Je le laissai faire, trop excitée pour lui résister. Ses gestes me mettaient dans un état où ma raison était désagrégée.
    
    Quand je fus de nouveau allongée, il se pencha sur moi pour continuer à caresser, puis à sucer mes mamelons. La tête posée sur sa chevelure, je souhaitai qu’il me conduisît jusqu’à l’apogée de la jouissance, mais il s’arrêta brusquement. Son souffle était devenu rauque. De ses mains tremblantes d’impatience, il défit sa ceinture, puis ouvrit son pantalon et me fit voir pour la première fois un pénis tendu, long comme ma main.
    
    Il posa ses doigts dessus avant de m’inviter à y mettre les siens. Je découvris par le toucher ce membre fusiforme et chaud. Il demanda de bien le serrer et de faire glisser mes doigts dessus. Je m’exécutai, fascinée au plus haut point. Après juste deux mouvements, je sentis quelque chose se produire dans son membre et un jet de liquide laiteux fusa. J’en reçus plein la main et des gouttes tombèrent sur mon ventre, car Bruno s’était ...