Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... soubresauts.
Je jouis encore, et cette fois-ci je ressors monsieur Rose de mon sexe. J’en ai eu assez. Le gland sortant de mon vagin relance un spasme. Le dernier… Je ventouse monsieur Rose sur un coin de la baignoire. Il va sécher en attendant que je m’occupe de le rincer et de le ranger.
Le temps que mes jambes se remettent de leurs émotions, je me relève et entame une douche, pour me laver cette fois. Du gel douche, une main encore toute affolée de ce qu’elle a découvert, vu et fait, et me voici sentant bon, rincée de ma lubricité.
La journée avance encore ; la soirée commence à arriver, et Isabelle aussi. Avec l’ouverture de jour, elle est montée directement à ma porte et a donné un petit coup de sonnette. Tout était prêt, donc pas d’angoisse de dernière minute. J’ouvris la porte, et la voici souriante au possible, avec un petit bouquet de fleurs des champs. Il sentait très bon.
On se fit la bise rapidement et, comme la dernière fois, Isabelle rata un peu la joue droite. Je ne m’en formalisai toujours pas et l’invitai à entrer dans mon "vaste" appartement (en comparaison de son "très petit" appartement).
Le mien n’est pas très grand en superficie, mais il a été agencé pour des personnes sans enfant, manifestement. Un grand living avec une cuisine américaine, des toilettes gigantesques et ma fameuse suite parentale, la chambre, avec de quoi mettre 3 grands lits, et sa salle de bain attenante. Je fis le tour du propriétaire avec Isabelle qui était conquise ...
... par tant d’espace.
— C’est un truc comme ça qu’il me faudrait ! dit-elle avec un grand sourire. Ta chambre est fantastique… elle donne envie d’y rester.
— Mes week-ends sont très cocooning, et je reste bien au chaud dans ma chambre.
— Veinarde !
Ce dernier trait était assorti d’un clin d’œil amical. J’invitai mon hôte d’un soir à revenir dans le living pour un petit apéro. Toutes les deux assises sur le canapé, nous discutions appartements, opportunités, coût du marché. En l’espace de quelques minutes, nous refaisions le monde immobilier parisien et instaurions les lois qui, immanquablement, seraient faites pour que chacune ait sa chance d’avoir ce qu’il lui faut… surtout nous !
Le repas s’enchaîna, toujours aussi détendu et amical. Nos boulots respectifs étaient épargnés par la vague juridico-législative qui nous animait et nous faisait refaire le monde, mais c’était bien parce qu’il fallait manger à la fin du mois… et mon traiteur avait bien fait le travail, nous mangions bien. C’était la première fois que je me surprenais à regarder Isabelle. Je l’écoutais, je la détaillais : ses cheveux mi-longs, ses yeux noisette, son regard rieur, son sourire attirant… Elle devait en faire craquer, des mecs ! J’en profitai pour lancer le sujet :
— Et toi, mis à part Sa Majesté Cro-Magnon Premier ? T’as un petit ami ?
Elle éclata de rire de ma définition de son boss.
— Non ; pour le moment, je n’ai personne.
Son regard fit un petit tour dans le vide puis revint sur ...