Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... l’exploration, progressant en moi petit à petit, le temps que je m’adapte à sa tête. Je peux alors fermer les yeux, ouvrir les cuisses et commencer le ballet.
Ma main qui s’éloigne, mes lèvres qui s’ouvrent, le jouet qui ressort en caressant ma profonde intimité, puis je reviens. Le gode s’insinue en moi, mes petites lèvres essaient de le suivre, sans succès. Je sens le gland progresser dans mon vagin. Je peux le ressortir. Petit à petit il devient luisant, ses allers-retours sont plus faciles, plus doux, plus agréables.
Un petit clapotis arrive à chaque mouvement. Le nectar tant attendu est là, c’est mon désir, c’est le plaisir de la pénétration. Je continue les mouvements d’avant en arrière. L’eau du fond de la baignoire devient de plus en plus tiède, mais ce n’est pas grave : j’ai chaud au plus profond de moi. C’est à ce moment que je ressors le jouet rose de mon sexe. Il est glissant. En le posant délicatement sur le haut de mes lèvres, je sais qu’il apportera suffisamment de douceur pour que je caresse mon clitoris avec les doigts.
Mais prudence est mère de sûreté : je m’introduis un doigt, puis deux, et recueille ce velours liquide. Je remonte mes doigts sur le capuchon et je peux maintenant appliquer une pression plus importante. La réaction de mon corps est immédiate… c’est intense, c’est fort. La décharge électrique est vive, mais tellement bonne. Je relâche la pression et commence à explorer les alentours de mon sexe. Je l’imagine luisant, tant mes ...
... doigts glissent sur mes chairs. Je sais qu’en revenant sur le haut de mes lèvres, mon bouton sera à nouveau chargé de mon propre plaisir.
Le son du précieux liquide ne me dément pas. J’entreprends donc d’aller vers la jouissance. Le massage devient régulier, affirmé. Je suis sur la route du plaisir. Je redemande l’aide de monsieur Rose. Sa tête n’a plus aucun mal à franchir l’entrée de ma vulve, ni à remonter en moi. Son gland me procure un plaisir accentué par les caresses autour de mon bouton d’or. Je commence à avoir le souffle court, les doigts trempés.
Je presse le gode au fond de mon sexe, jusqu’à la garde. Je ne respire plus, je gémis. Je décapuchonne mon bouton et ose une pression directe. Mes doigts glissent plus qu’ils n’appuient, puis vient l’explosion, l’orgasme. Mes jambes se referment, mon corps se tend, mes doigts pressent mon clitoris qui me foudroie de plaisir, mon ventre se contracte… La ventouse de monsieur Rose appuie sur l’intérieur de mes cuisses. C’est douloureux, mais il est encore en moi, pour mon plus grand plaisir.
Je relâche la pression, avec un spasme ; c’est trop fort. Mon ventre bouillonne, mon sexe irradie, je suis bien partout. Je peux ouvrir les cuisses et extraire délicatement monsieur Rose… Sa sortie est délicieuse.« Si j’osais… » J’ose le réintroduire ; je profite de mes doigts enduits de ma liqueur pour tourner autour du pot… Le plaisir revient, rapidement, intensément, grisant. Je gémis de nouveau, mon corps est à nouveau saisi de ...