1. Septembre, ses couleurs douces et ses surprises


    Datte: 25/05/2020, Catégories: f, ff, fépilée, jouet, init, Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe

    ... elle apparut dans l’embrasure de la porte et marcha vers moi. Elle était nue, complètement nue. Elle était ravissante, belle…
    
    Son visage était toujours aussi agréable ; son regard était devenu timide, mais ses beaux yeux me fascinaient malgré tout. Elle avait une poitrine de taille assez moyenne. Elle avait des seins plus petits que les miens, mais ils se tenaient mieux, ils ne remuaient presque pas lorsqu’elle marchait.
    
    Mais je suis immédiatement tombée amoureuse de son sexe. Il était nu, épilé, incroyablement lisse. Elle ne se rasait certainement pas : il n’y avait pas de trace de poils, pas de petits boutons, pas de rougeurs. Ce n’était pas Vénus sortant des eaux, mais le mont de Vénus sortant de ma salle d’eau. Un sexe d’une beauté ! Des cuisses avec quelques formes mais fermes, un petit renfoncement dans lequel était nichée une vulve charnue, de belles lèvres de part et d’autre, des hanches venant encadrer le tableau de la perfection.
    
    Je ne pouvais pas détacher mon regard de ce sexe qui s’avançait vers moi. Il était beau, il était tellement sensuel, il dégageait tellement d’envie de ma part que je ne me suis pas aperçue qu’Isabelle était arrivée à un mètre de moi et me regardait. Elle semblait fière de son effet.
    
    — J’ai une esthéticienne qui fait un boulot remarquable !
    
    Je réussis presque à articuler une phrase qui se voulait être « Je vois ça… »
    
    J’étais toujours assise, avec ce sexe de femme parfait presque à portée de main. Je levai enfin le regard ...
    ... vers la propriétaire de ce fantasme en chair et me demandai pourquoi elle avait ce petit sourire en coin.
    
    — Que se passe-t-il ? Ça s’est vu que je regardais ta… ton…
    — Ça s’est vu, et je me donne du mal pour que ce soit comme ça, répondit-elle toujours avec douceur. Mais ce qui me fait rire, c’est que tu as dû sortir de la salle de bain rapidement tout à l’heure.
    — Oui, je sais, j’ai laissé ma culotte par terre.
    
    Elle enchaîna :
    
    — Il n’y a pas que ça…
    
    Et elle passa un bras resté dans son dos pendant son arrivée et me présenta… monsieur Rose, oublié lui aussi, ventousé sur la baignoire. Je crois que je ne devais pas avoir suffisamment de sang dans le corps pour arriver à faire rougir plus mes joues qu’à ce moment-là. Je ne savais plus quoi dire, ni où regarder. Elle s’agenouilla devant moi et essaya d’attraper mon regard avec des yeux gourmands :
    
    — Je serais enchantée de pouvoir te l’emprunter un de ces quatre.
    — Ehmmm… bien sûr, mais il faudra que je nettoie un peu avant.
    
    Elle lança mon amant sur les oreillers et s’approcha de moi, en silence, toujours en douceur et posa ses mains sur mes genoux.
    
    — Je voudrais t’embrasser…
    
    La phrase était directe. Elle était nue, à genoux devant moi, qui n’étais couverte que par un peignoir court. L’idée de retrouver la douceur de ses lèvres contre les miennes fit que ma respiration s’accéléra.
    
    — J’aimerais aussi, lui répondis-je.
    
    Elle s’avança un peu et je dus écarter mes cuisses pour qu’elle puisse venir poser ...
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