Matins chauds
Datte: 24/05/2020,
Catégories:
fh,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
nopéné,
tutu,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... tout à fait dans les normes. Mais pourquoi faudrait-il toujours s’en tenir à quelque chose de planifié, de construit et de normé ? Ici, à cet instant précis, pourquoi ne pas tout envoyer promener très loin ? Qu’il est bon de s’échapper, de s’accorder enfin ces instants que personne ne pourra venir nous reprendre et qui resteront en nous, rien que pour nous ?
Commence alors un déshabillage commun, chacun cherchant à mettre à jour la chair de l’autre, ces parties de corps que je veux toucher et voir, que tu veux caresser et empoigner comme si nous étions propriétaires l’un de l’autre. Pourquoi me les caches-tu ? Donc, elles sont à moi, vite, non ce sont les miennes, vite mettons-les à nu ! Alors mon blouson tombe au sol, j’ôte le tien, qui rejoint aussitôt les feuilles ou les fougères. Tu sors ma chemise de mon pantalon, défais les boutons, découvres ma poitrine que tu aimes parcourir du bout des doigts et des lèvres, surtout mes tétons. Tu joues avec, même s’ils ne sont pas aussi réactifs que les tiens, je me plie presque de plaisir quand ta bouche vorace se pose sur eux.
De mon côté, et bien souvent sans douceur particulière, je mets à jour tes tétines, je les extirpe littéralement de ton soutien-gorge, leur laissant tout juste la place de goûter à l’air. Ils pointent tout de suite ces deux petits bouts de chair. Au départ, ils sont un peu timides, effacés au sommet de tes seins bien plantés en hauteur, que j’aime leur aspect à ces deux grosses mandarines qui demandent ...
... que mes mains un peu curieuses viennent s’occuper d’elles, les éplucher avec science, les tâter avec gourmandise, les convoiter, vivement que je les mange !
Un fruit, c’est encore plus beau quand je peux le toucher, le palper, le soupeser, en deviner la texture, la maturité, sous son écorce toujours trop épaisse. Et bien là sous ta peau, j’aime bien les sentir vivants, comprends-tu à mes gestes comment ils regorgent de vie ! Je ne connais pas leur mystère, leur composition interne. Tout ce que je sais, c’est que lorsque je m’approche d’eux, commence alors un processus dont je ne me lasse pas de découvrir toutes les manifestations externes. Ils se font plus lourds, plus fermes, plus larges aussi et mes mains peuvent s’en emplir, rien ou presque ne leur échappe.
Que dire alors de tes tétons vers lesquels je me dirige car tu adores les voir souffrir entre mes doigts ou mes lèvres. Souffrir n’est pas le verbe exact, je n’ose pas leur faire mal, j’ai trop de respect pour toi, il n’est pas approprié ce mot, disons que je t’aime, à ma façon, celle d’une amitié amoureuse. Mais quel plaisir, dès qu’ils entament leur pousse, de les frotter au départ pour qu’ils se renforcent puis de les titiller de gauche et de droite, de les pincer à peine, puis de les presser toujours un peu plus fort, ils grossissent sans cesse, jusqu’où peuvent-ils aller ? Ce ne sont plus deux boutons, mais deux petites manettes qui permettent de t’amener à décupler son plaisir. Je les pince, je les tire, je ...