Matins chauds
Datte: 24/05/2020,
Catégories:
fh,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
nopéné,
tutu,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... ? Pourquoi toujours tout cacher ? Enfin, cela dura peu de temps puisque très rapidement ils jaillirent de tous les côtés, sous tous les angles, dans toutes les mises en scène y compris les plus scabreuses. C’est un bel acteur, mais faut-il tout lui faire jouer, tout le répertoire de l’amour charnel ?
Toi aussi tu portes des strings et cela tous les jours pour mon plus grand plaisir. Je m’en suis aperçu dès le début de notre rencontre et ce détail vestimentaire m’a laissé penser que quelque part en toi sommeillait peut-être une personne coquine, une adepte endormie d’Éros. Tu en as des sages qui montent parfois très haut sur ton ventre, des plus échancrés qui accentuent le renflement de ton mont de Vénus, des transparents, roses, noirs, blancs et un tout petit rouge, mélange de coton et de ce je ne sais plus quoi, mais tellement agréable au toucher.
Mes doigts glissent sur lui, ce qui fait que je n’ai pas toujours envie de l’écarter au plus vite pour entrer au contact de la peau de ton sexe. Ce tissu est lui-même une forme de peau et elle vibre au moindre frôlement, elle électrise tout cet univers rapidement éveillé et affamé. Il t’est même arrivé une fois de venir nue sous une robe en toile légère plutôt ajustée. Je t’ai imaginée assise bien droite, les cuisses collées, un peu crispée dans ton wagon, espérant qu’aucun regard inquisiteur ne se soit aperçu de cette extravagance frisant l’outrage aux bonnes mœurs. J’étais très excité, mais n’était-ce pas aller trop vite, ...
... comme si nous étions toujours plus friands, dans une quête désespérée, et continuellement privés ?
Pour accélérer encore notre première sensation, la plus intense et la plus vraie sûrement, souvent j’ouvre ma braguette et je desserre ma ceinture. Je ne cesse de pester contre l’emploi des boutons qui résistent trop facilement à nos doigts, à tes doigts, les uns et les autres malhabiles tant ils s’affolent. C’est plus facile l’hiver quand mes parkas me dissimulent mieux aux regards pas toujours bienveillants. Ainsi, dès que tu t’assieds à côté de moi dans la voiture, tes mains se précipitent vers mon entrejambe, elles écartant l’ouverture tentatrice et explorent ce que mon pantalon peine à cacher, il faut dire que bien souvent elles sont glacées et tu dois les réchauffer après avoir fait jaillir de moi un cri d’effroi. Tu ne te trompes pas, à cet endroit, il n’y a pas mieux comme chauffage d’appoint.
Et moi, je ne suis pas en reste, tout en conduisant avec prudence, je remonte aussi haut que possible ta jupe, les trop longues ou trop lourdes, ou trop plissées encore m’agacent un peu. J’essaie de toucher, d’entrer au contact de ton triangle magique. Souvent, j’échoue à quelques centimètres à peine de ton sexe. Alors, soucieuse de me contenter comme je le fais à ton égard, tu écartes toujours plus les cuisses, aussi largement que ta position inconfortable te l’autorise et tu facilites ma remontée maladroite vers tes mystères. Mais tout ceci demeure furtif car il faut que je ...